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Issu d'un milieu très privilégié, cet ancien ingénieur en génie civil est notamment connu pour avoir présidé le très populaire club de football Boca Juniors. En 1991, il est enlevé et détenu pendant plusieurs jours. Il décrit cette douloureuse épreuve comme la principale cause de son entrée en politique en 2003.
Faisant en grande partie campagne sur le thème de l'insécurité, Mauricio Macri remporte la mairie de Buenos Aires contre Daniel Filmus (FPV) en 2007 et sera réélu en 2011.
Considéré comme le « candidat des riches », ce conservateur, favorable aux marchés, est désireux de mettre en œuvre des changements économiques rapides afin d'attirer les investisseurs étrangers en Argentine. Farouchement opposé à l’étatisme mis en place par les Kirchner, une des plus importante proposition du candidat Macri est de lever les contrôles de change afin de normaliser les flux économiques.
Très critique à l'encontre du gouvernement, il modère tout de même son discours lorsqu’il s'agit du bilan social de la présidente sortante. Sachant qu'une grande partie de l'électorat argentin demeure économiquement modeste, le candidat libéral tente de ne pas effrayer les votants les plus défavorisés en assurant sa volonté de maintenir certains plans sociaux mis en place.
A l'international, le candidat Macri propose notamment un rapprochement économique rapide avec l'Europe et les USA.
A la veille des élections, le candidat libéral est toujours loin derrière le favori Daniel Scioli. Aujourd’hui, la question est de savoir si deuxième tour il y aura. Il faudrait 45% des voix au candidat FPV pour l'emporter ce dimanche, et seulement 40% si au moins dix points le sépare du candidat suivant.
Si le clan Kirchner mise sur une victoire au premier tour, les sondages, eux, ne semblent pas suivre cet espoir accordant au mieux au candidat Scioli 39% d'intentions de vote.
Faisant en grande partie campagne sur le thème de l'insécurité, Mauricio Macri remporte la mairie de Buenos Aires contre Daniel Filmus (FPV) en 2007 et sera réélu en 2011.
Considéré comme le « candidat des riches », ce conservateur, favorable aux marchés, est désireux de mettre en œuvre des changements économiques rapides afin d'attirer les investisseurs étrangers en Argentine. Farouchement opposé à l’étatisme mis en place par les Kirchner, une des plus importante proposition du candidat Macri est de lever les contrôles de change afin de normaliser les flux économiques.
Très critique à l'encontre du gouvernement, il modère tout de même son discours lorsqu’il s'agit du bilan social de la présidente sortante. Sachant qu'une grande partie de l'électorat argentin demeure économiquement modeste, le candidat libéral tente de ne pas effrayer les votants les plus défavorisés en assurant sa volonté de maintenir certains plans sociaux mis en place.
A l'international, le candidat Macri propose notamment un rapprochement économique rapide avec l'Europe et les USA.
A la veille des élections, le candidat libéral est toujours loin derrière le favori Daniel Scioli. Aujourd’hui, la question est de savoir si deuxième tour il y aura. Il faudrait 45% des voix au candidat FPV pour l'emporter ce dimanche, et seulement 40% si au moins dix points le sépare du candidat suivant.
Si le clan Kirchner mise sur une victoire au premier tour, les sondages, eux, ne semblent pas suivre cet espoir accordant au mieux au candidat Scioli 39% d'intentions de vote.