Solange LUSIKU, directrice et éditrice responsable du journal Le Souverain paraissant à Bukavu et Ephraïm BISIMWA, journaliste de Radio Maendeleo, radio associative émettant à Bukavu revenaient d’une session de formation regroupant les professionnels des médias de plusieurs pays africains.
Selon nos deux confrères, deux femmes agents de l’OFIDA les ont cueillis à froid les traitant de tous les noms d’oiseaux. Solange Lusiku et Ephraïm Bisimwa ont été humiliés alors qu’ils venaient de remplir toutes les formalités auprès de la Direction Générale des Migrations, du service de l’Hygiène et de l’Office Congolais de Contrôle. C’est au moment de franchir la barrière que les deux femmes du bureau de l’OFIDA ont intercepté les deux journalistes. Ces confrères ayant refusé la fouille de leurs sacs car n’étant pas des commerçants, les deux agents de la douane se sont mises à les injurier et à proférer des menaces à leur encontre.
Pis encore, les noms de Serge Maheshe et de Didace Namujimbo ont été cités à plusieurs reprises par ces femmes. « Vous ne savez pas qu’au Congo la presse n’existe pas. Si la presse existait, on n’allait pas vous tuer comme des chiens. Où est Serge Maheshe ? Où est Didace Namujimbo ? Ils sont morts comme des chiens ! Vous aussi vous allez mourir comme des chiens. Vous voulez nous montrer que vous représentez la presse. La presse, c’est quoi ? Vous pouvez continuer à pérorer sur vos radios, vous mourrez comme des chiens comme vos deux confrères sont morts et l’OFIDA continuera à exister. Que valez-vous ? Absolument rien, » ont notamment lancé les deux femmes aux deux journalistes.
C’est grâce à l’intervention du gouverneur de province que les deux journalistes ont été tirés de ce mauvais quart d’heures. Solange Lusiku et Ephraïm Bisimwa ont porté plainte contre les deux agents de l’OFIDA. Ces agents ternissent l’image de notre pays vis-à-vis des étrangers en visite chez nous, s’est indigné un habitant de Bukavu, témoin de l’incident. La presse dénonce régulièrement le comportement des agents aux postes frontaliers qui se comportent en bourreaux des voyageurs. Non seulement ces agents ridiculisent les voyageurs mais aussi se rendent coupables de corruption favorisant la fraude à la frontière.
Selon nos deux confrères, deux femmes agents de l’OFIDA les ont cueillis à froid les traitant de tous les noms d’oiseaux. Solange Lusiku et Ephraïm Bisimwa ont été humiliés alors qu’ils venaient de remplir toutes les formalités auprès de la Direction Générale des Migrations, du service de l’Hygiène et de l’Office Congolais de Contrôle. C’est au moment de franchir la barrière que les deux femmes du bureau de l’OFIDA ont intercepté les deux journalistes. Ces confrères ayant refusé la fouille de leurs sacs car n’étant pas des commerçants, les deux agents de la douane se sont mises à les injurier et à proférer des menaces à leur encontre.
Pis encore, les noms de Serge Maheshe et de Didace Namujimbo ont été cités à plusieurs reprises par ces femmes. « Vous ne savez pas qu’au Congo la presse n’existe pas. Si la presse existait, on n’allait pas vous tuer comme des chiens. Où est Serge Maheshe ? Où est Didace Namujimbo ? Ils sont morts comme des chiens ! Vous aussi vous allez mourir comme des chiens. Vous voulez nous montrer que vous représentez la presse. La presse, c’est quoi ? Vous pouvez continuer à pérorer sur vos radios, vous mourrez comme des chiens comme vos deux confrères sont morts et l’OFIDA continuera à exister. Que valez-vous ? Absolument rien, » ont notamment lancé les deux femmes aux deux journalistes.
C’est grâce à l’intervention du gouverneur de province que les deux journalistes ont été tirés de ce mauvais quart d’heures. Solange Lusiku et Ephraïm Bisimwa ont porté plainte contre les deux agents de l’OFIDA. Ces agents ternissent l’image de notre pays vis-à-vis des étrangers en visite chez nous, s’est indigné un habitant de Bukavu, témoin de l’incident. La presse dénonce régulièrement le comportement des agents aux postes frontaliers qui se comportent en bourreaux des voyageurs. Non seulement ces agents ridiculisent les voyageurs mais aussi se rendent coupables de corruption favorisant la fraude à la frontière.
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