Au vu de la rareté de ses publications, ce six titres ferait figure de triple album chez d’autres. Avec "Érotisme, Cantique 25.7", Daniel Chenevez - qui fut la moitié masculine du duo patrimonial Niagara - livre enfin une suite à l’exercice pop ‘"Excentrique" et au plus remarqué "Hypnose" à l’enjeu électro rock.
Pendant ces longues années, Daniel participe à divers projets mais surtout se cloître dans son propre studio pour y écrire des dizaines de chansons qu'il ne dévoilera peut être jamais, n'étant pas vraiment tenté par l'idée d'une box set de Basement Tapes. Il refuse aussi de se voir en Brian Wilson ultra perfectionniste même quand il n’hésite pas à remodeler sans cesse certains titres.
Travaillant comme un fou, il se plonge dans les techniques de production et d’enregistrement, développe sa voix et reprend ses textes sans relâche. Il en profite pour approfondir ses arrangements, notamment son écriture de cordes. Viennent quelques jours à Bruxelles au studio ICP suivi du mixage avec Dominique Blanc-Francard auquel il maintient une fidélité de longue mémoire.
L’équilibre musical est préservé entre l’électro-funk "Sans raison aucune", le très dance "Rien ne résiste" et les 32 cordes de l’Orchestre de la Radio Macédonienne qui habitent et habillent somptueusement "Alors la nuit", "Sur tes lèvres", le tendu "Demain ne le sera jamais" ou le très western spaghetti "Le marié du parvis des églises".
Pendant ces longues années, Daniel participe à divers projets mais surtout se cloître dans son propre studio pour y écrire des dizaines de chansons qu'il ne dévoilera peut être jamais, n'étant pas vraiment tenté par l'idée d'une box set de Basement Tapes. Il refuse aussi de se voir en Brian Wilson ultra perfectionniste même quand il n’hésite pas à remodeler sans cesse certains titres.
Travaillant comme un fou, il se plonge dans les techniques de production et d’enregistrement, développe sa voix et reprend ses textes sans relâche. Il en profite pour approfondir ses arrangements, notamment son écriture de cordes. Viennent quelques jours à Bruxelles au studio ICP suivi du mixage avec Dominique Blanc-Francard auquel il maintient une fidélité de longue mémoire.
L’équilibre musical est préservé entre l’électro-funk "Sans raison aucune", le très dance "Rien ne résiste" et les 32 cordes de l’Orchestre de la Radio Macédonienne qui habitent et habillent somptueusement "Alors la nuit", "Sur tes lèvres", le tendu "Demain ne le sera jamais" ou le très western spaghetti "Le marié du parvis des églises".