Le secrétaire d'État pontifical, Mgr Pietro Parolin, numéro deux du Vatican, assure que le Saint-Siège "se réserve de répondre (à l'ONU) après avoir pris connaissance approfondie" du rapport. Il s'étonne toutefois que les rapporteurs de l'ONU aient soulevé des thèmes "qui interfèrent avec la doctrine catholique, tels que l'avortement".