Rédigé le 26/11/2011 (dernière modification le 17/04/2018)
Pour ses implants mammaires, la firme PIP aurait utilisé un gel qui n'était pas destiné à un usage médical mais industriel. Après un premier cas mortel directement lié à leurs prothèses, on s'attend à une nouvelle crise sanitaire de grande ampleur. Rien qu'en France, 30.000 femmes vivraient avec ces bombes à retardement.
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