Pardonnez mon ingénuité, mais je crois avoir compris pourquoi, dans le temps des peines capitales, on envoyait un condamné à mort au peloton d'exécution au petit matin, et non sans lui avoir accordé une dernière cigarette. C'était donc pour que cette dernière l'achevât d'un opportun cancer au poumon, dans l'hypothèse où celui-ci n'eût été touché par aucune balle de ces ivrognes de soldats ! Un secret militaire bien gardé jusque là !
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Dessin: Reginald Stokart