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Entre sable, métaux et végétaux, le centre d'art contemporain plonge ses visiteurs dans un univers côtoyant le fantastique. D'un espace d'exposition de 1.800 m2, la Panacée s'est muée en un laboratoire expérimental où une génération d'artistes combine analyses et esthétisme. Au centre de leurs réflexions, on retrouve le monde moderne et les matières, naturelles ou synthétiques, le composant.
Se retrouvant tantôt dans un garage futuriste, tantôt dans un terrarium ou encore sur une "plage" de sable noir, le visiteur est transporté par une exposition à la lisière de la science, mais qui ne s'en revendique pas. Plus que de l'art, la Panacée propose une expérience inédite où tous les sens sont réquisitionnés, où culture et nature fusionnent.
Elle met en avant l’art des années 2010 qui semble avoir intégré la notion d’anthropocène, qui désigne une ère dominée par les activités humaines et leur impact sur la planète. Elle mène le public à une réflexion écologique en lui offrant l’occasion de voir le monde d’un autre œil. Un monde dont la représentation évolue vers une sorte de coprésence avec des sphères autrefois séparées dans la pensée occidentale: le minéral, l’animal, le végétal, la machine et l’humain, qui semblent échanger sans cesse leurs propriétés.
Thomas Turlai, l’un des exposants, avoue vouloir déstabiliser le spectateur en modifiant sa perception, voire même en déclenchant des mécanismes de peur ou encore de séduction. Le visiteur devient donc une partie intégrante de cette exposition aux allures de monde parallèle.
Se retrouvant tantôt dans un garage futuriste, tantôt dans un terrarium ou encore sur une "plage" de sable noir, le visiteur est transporté par une exposition à la lisière de la science, mais qui ne s'en revendique pas. Plus que de l'art, la Panacée propose une expérience inédite où tous les sens sont réquisitionnés, où culture et nature fusionnent.
Elle met en avant l’art des années 2010 qui semble avoir intégré la notion d’anthropocène, qui désigne une ère dominée par les activités humaines et leur impact sur la planète. Elle mène le public à une réflexion écologique en lui offrant l’occasion de voir le monde d’un autre œil. Un monde dont la représentation évolue vers une sorte de coprésence avec des sphères autrefois séparées dans la pensée occidentale: le minéral, l’animal, le végétal, la machine et l’humain, qui semblent échanger sans cesse leurs propriétés.
Thomas Turlai, l’un des exposants, avoue vouloir déstabiliser le spectateur en modifiant sa perception, voire même en déclenchant des mécanismes de peur ou encore de séduction. Le visiteur devient donc une partie intégrante de cette exposition aux allures de monde parallèle.
La Panacée
Entrée gratuite, du mercredi au samedi de 12h à 20h et le dimanche de 10h à 18h
La Panacée
Entrée gratuite, du mercredi au samedi de 12h à 20h et le dimanche de 10h à 18h
La Panacée