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En observant minutieusement des photos prises par satellite des camps nos 15 et 16 (kwanliso), Amnesty International a remarqué de nouveaux bâtiments destinés au logement et une augmentation des installations destinées à la production. D’autre part, l’organisation a constaté le maintien d’un solide dispositif de sécurité.
Cette analyse, accompagnée de nouveaux témoignages, figure dans le récent rapport d’Amnesty International "North Korea: Continued Investment in the Infrastructure of Repression".
Un ancien responsable de la sécurité du camp no 16, le plus grand camp de prisonniers politiques en Corée du Nord, s’exprime publiquement pour la première fois dans ce rapport. Il y parle de détenus forcés de creuser leur propre tombe et de femmes disparaissant après avoir été violées.
"La réalité de l’investissement permanent de la Corée du Nord dans cet immense réseau de répression est mise au jour. Amnesty International exhorte les autorités à libérer immédiatement et sans condition tous les prisonniers d’opinion détenus dans les camps pour prisonniers politiques et à fermer ces camps sans délai", a déclaré Rajiv Narayan, spécialiste de l’Asie de l’Est au sein d’Amnesty International.
Amnesty International a partagé ces éléments d’information avec la commission des Nations unies chargées d’enquêter sur les violations des droits humains commises en Corée du Nord.
Cette analyse, accompagnée de nouveaux témoignages, figure dans le récent rapport d’Amnesty International "North Korea: Continued Investment in the Infrastructure of Repression".
Un ancien responsable de la sécurité du camp no 16, le plus grand camp de prisonniers politiques en Corée du Nord, s’exprime publiquement pour la première fois dans ce rapport. Il y parle de détenus forcés de creuser leur propre tombe et de femmes disparaissant après avoir été violées.
"La réalité de l’investissement permanent de la Corée du Nord dans cet immense réseau de répression est mise au jour. Amnesty International exhorte les autorités à libérer immédiatement et sans condition tous les prisonniers d’opinion détenus dans les camps pour prisonniers politiques et à fermer ces camps sans délai", a déclaré Rajiv Narayan, spécialiste de l’Asie de l’Est au sein d’Amnesty International.
Amnesty International a partagé ces éléments d’information avec la commission des Nations unies chargées d’enquêter sur les violations des droits humains commises en Corée du Nord.