Amnesty International considère que "La condamnation brutale de Mahmoud Shokraye, pour avoir simplement dessiné une caricature inoffensive donne froid dans le dos et fait savoir sans équivoque aux Iraniens qu'ils ne peuvent pas exprimer librement et de manière pacifique leurs points de vue sans craindre des représailles violentes de la part des autorités iraniennes. (...) C'est un nouvel exemple des attaques incessantes des autorités iraniennes contre la liberté d'expression. La condamnation à la flagellation constitue une peine cruelle, inhumaine et dégradante pour tous les crimes et, à ce titre, elle est interdite par le droit international. Au lieu de condamner de nouvelles personnes à des peines de flagellation, les autorités iraniennes devraient faire le nécessaire pour retirer ce châtiment des peines prévues par la loi."
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