L’anticipation est devenue un impératif pour l’entreprise moderne, car la médiatisation fait que n’importe quelle expérience vécue à n’importe quel coin du monde peut être partagée, et comme la majorité des crises se répètent très souvent dans les mêmes conditions (sans se ressembler), le tribunal de l’opinion publique ne pardonne pas.
Lorsque nous somme en face d’un drame qui touche aux vies humaines (transport, industrie alimentaire, environnement…) le choc fait que toutes les parties prenantes (autorités, familles des victimes, médias…) n’accordent aucune circonstance atténuante à l’entreprise, ça veut dire que cette dernière sera exposée à de grandes pressions de toutes parts, ça veut dire aussi que même si l’entreprise n’a pas failli à ses responsabilités, en matière de précaution et de sécurité, elle subira de graves conséquences, si bien sûr sa réponse n’est pas bien élaborée.
Mais comment élaborer une réponse adéquate alors que les dirigeants de l’entreprise sont perdus entre plusieurs fronts? Comment faire abstraction de tous les sentiments d’angoisse et de peur pour arriver à harmoniser les actions entreprises ?
Il existe un domaine de recherche qui fournit un ensemble de méthodes et de procédures, permettant aux entreprises de gérer les situations de crises dans les meilleures conditions, en les accompagnant durant toutes les étapes. Ce domaine est évidement la communication de crise qui connaît une grande évolution dans les pays développés, mais qui dans des pays comme le nôtre se fait rarissime, en raison du manque d’importance qu’on donne à la communication en général, et aussi du fait que ce domaine n’est né que durant les années quatre-vingt, grâce à des recherches comme celles effectuées par le chercheur français Patrick Lagadek. Pourtant, les entreprises algériennes auraient tout à gagner en adoptant ces méthodes, car faut-il le rappeler, à chaque fois qu’il y a crise en Algérie c’est l’improvisation totale en communication (si elle existe bien sûr) pire encore, le manque de coordination mène des responsables de la même organisation à se contredire, ce qui détruit quasiment la crédibilité des messages diffusés.
L’image d’une entreprise constitue son plus précieux capital, et sa remise en cause peut causer des pertes inestimables, des pertes qui peuvent lui être épargnées grâce à une organisation très peu coûteuse et très efficace. La communication est une culture qui demande un changement de mentalité (d’abord chez nos chefs d’entreprises) et qui une fois instaurée apportera beaucoup de clarté et de stabilité à notre économie.
Lorsque nous somme en face d’un drame qui touche aux vies humaines (transport, industrie alimentaire, environnement…) le choc fait que toutes les parties prenantes (autorités, familles des victimes, médias…) n’accordent aucune circonstance atténuante à l’entreprise, ça veut dire que cette dernière sera exposée à de grandes pressions de toutes parts, ça veut dire aussi que même si l’entreprise n’a pas failli à ses responsabilités, en matière de précaution et de sécurité, elle subira de graves conséquences, si bien sûr sa réponse n’est pas bien élaborée.
Mais comment élaborer une réponse adéquate alors que les dirigeants de l’entreprise sont perdus entre plusieurs fronts? Comment faire abstraction de tous les sentiments d’angoisse et de peur pour arriver à harmoniser les actions entreprises ?
Il existe un domaine de recherche qui fournit un ensemble de méthodes et de procédures, permettant aux entreprises de gérer les situations de crises dans les meilleures conditions, en les accompagnant durant toutes les étapes. Ce domaine est évidement la communication de crise qui connaît une grande évolution dans les pays développés, mais qui dans des pays comme le nôtre se fait rarissime, en raison du manque d’importance qu’on donne à la communication en général, et aussi du fait que ce domaine n’est né que durant les années quatre-vingt, grâce à des recherches comme celles effectuées par le chercheur français Patrick Lagadek. Pourtant, les entreprises algériennes auraient tout à gagner en adoptant ces méthodes, car faut-il le rappeler, à chaque fois qu’il y a crise en Algérie c’est l’improvisation totale en communication (si elle existe bien sûr) pire encore, le manque de coordination mène des responsables de la même organisation à se contredire, ce qui détruit quasiment la crédibilité des messages diffusés.
L’image d’une entreprise constitue son plus précieux capital, et sa remise en cause peut causer des pertes inestimables, des pertes qui peuvent lui être épargnées grâce à une organisation très peu coûteuse et très efficace. La communication est une culture qui demande un changement de mentalité (d’abord chez nos chefs d’entreprises) et qui une fois instaurée apportera beaucoup de clarté et de stabilité à notre économie.