Chaque année pour cette journée, l'OMS et le Centre international de Recherche sur le Cancer (CIRC) soutiennent l'Union internationale contre le cancer (UICC) pour promouvoir les moyens de faire reculer la charge de morbidité imputable à cette maladie.
Le thème de la Journée mondiale cette année, "Ensemble, c'est possible", veut rappeler que c'est la mobilisation de chaque personne, de chaque organisation, de chaque gouvernement qui permettra de réduire le nombre des décès dus au cancer et aux maladies non transmissibles dans le monde.
"L'accès accru à des vaccinations efficaces et peu coûteuses pour prévenir les infections liées au cancer et l'existence de programmes économiques de dépistage pour tout un chacun peuvent contribuer à faire baisser la mortalité par cancer", souligne l'OMS dans son communiqué de presse.
Il existe actuellement des vaccins contre le cancer du col de l'utérus, provoqué par le papillomavirus humain (HPV), et contre le cancer du foie, dû au virus de l'hépatite B (HBV).
Le cancer du col de l'utérus est la deuxième forme de cancer la plus courante chez les femmes dans le monde. 500.000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. Les vaccins anti-HPV, dont l'administration est recommandée pour les jeunes filles entre 9 et 13 ans, sont une prévention contre les infections à HPV de types 16 et 18, responsables ensemble d'environ 70% des cas de cancer du col dans le monde.
Le cancer du foie a tué 700.000 personnes en 2008. Ensemble, les virus de l'hépatite B (HBV) et de l'hépatite C (HCV), sont responsables de 78% des cas de cancer du foie. On dispose d'un vaccin contre l'hépatite B depuis 1982, il s'agit du premier vaccin produit contre l'un des principaux cancers de l'être humain.
"On peut aussi réduire la mortalité par cancer par une détection et un traitement précoces, grâce au diagnostic et aux programmes de dépistage. Ces programmes sont particulièrement intéressants dans les milieux défavorisés où, dans leur majorité, les patients sont diagnostiqués et traités à un stade très avancé", a souligné l'OMS.
"Les programmes de dépistage appliquent des tests dans la population en bonne santé pour déceler les signes de cancer ou de lésions précancéreuses et ils permettent de référer rapidement les personnes touchées pour le diagnostic et le traitement. Des programmes de dépistage existent notamment pour le cancer du sein et le cancer du col de l'utérus."
Le thème de la Journée mondiale cette année, "Ensemble, c'est possible", veut rappeler que c'est la mobilisation de chaque personne, de chaque organisation, de chaque gouvernement qui permettra de réduire le nombre des décès dus au cancer et aux maladies non transmissibles dans le monde.
"L'accès accru à des vaccinations efficaces et peu coûteuses pour prévenir les infections liées au cancer et l'existence de programmes économiques de dépistage pour tout un chacun peuvent contribuer à faire baisser la mortalité par cancer", souligne l'OMS dans son communiqué de presse.
Il existe actuellement des vaccins contre le cancer du col de l'utérus, provoqué par le papillomavirus humain (HPV), et contre le cancer du foie, dû au virus de l'hépatite B (HBV).
Le cancer du col de l'utérus est la deuxième forme de cancer la plus courante chez les femmes dans le monde. 500.000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. Les vaccins anti-HPV, dont l'administration est recommandée pour les jeunes filles entre 9 et 13 ans, sont une prévention contre les infections à HPV de types 16 et 18, responsables ensemble d'environ 70% des cas de cancer du col dans le monde.
Le cancer du foie a tué 700.000 personnes en 2008. Ensemble, les virus de l'hépatite B (HBV) et de l'hépatite C (HCV), sont responsables de 78% des cas de cancer du foie. On dispose d'un vaccin contre l'hépatite B depuis 1982, il s'agit du premier vaccin produit contre l'un des principaux cancers de l'être humain.
"On peut aussi réduire la mortalité par cancer par une détection et un traitement précoces, grâce au diagnostic et aux programmes de dépistage. Ces programmes sont particulièrement intéressants dans les milieux défavorisés où, dans leur majorité, les patients sont diagnostiqués et traités à un stade très avancé", a souligné l'OMS.
"Les programmes de dépistage appliquent des tests dans la population en bonne santé pour déceler les signes de cancer ou de lésions précancéreuses et ils permettent de référer rapidement les personnes touchées pour le diagnostic et le traitement. Des programmes de dépistage existent notamment pour le cancer du sein et le cancer du col de l'utérus."