Ca s'est passé ces derniers jours en Algérie

La presse algérienne relate qu'un jeune lycéen algérien, âgé seulement de 19 ans se serait immolé à Oran, dans son ancien lycée. Le Quotidien d'Oran informe que ce jeune homme aurait agi ainsi suite au résultat négatif à son bac. Il était désespéré d'avoir échoué au baccalauréat et qu'on lui refuse sa demande de redoublement afin de réintégrer le lycée, "c'est pourquoi il a fait cela", ont rapporté ses camarades de classe. Selon ce même journal, la scène, qui se serait passée devant des élèves et des professeurs, fut tragique. Elle a d'ailleurs engendré des évanouissements. Le jeune lycéen aurait pénétré dans le lycée Souiyah El Houari et se serait aspergé d'essence et aurait allumé le feu juste en face de la salle des professeurs. Un des responsables du lycée aurait tenté de lui venir en aide mais celui-ci se serait blessé aux mains.
Suite à son immolation, le jeune homme aurait été emmené d'urgence à l'hôpital. Il serait dans "un état critique".

La vidéo ci-contre présente un exemple de cas d'immolation.

Un steward de la compagnie Air Algérie aurait été arrêté, à l'aéroport d'Alger. Alors qu'il revenait du Mali, celui-ci aurait été arrêté par les autorités algériennes avec 800 grammes d'héroïne. D'après Afrik.com, des "agissements irresponsables" auraient été dénoncés par le syndicat du personnel naviguant commercial (PNC) d’Air Algérie, ceux-ci portant "préjudice à la corporation".

Les vols en provenance des villes africaines, notamment des capitales, sont très surveillés. Le steward en question aurait été présenté au Parquet d’El Harrach et il risquerait 20 ans de prison.

A suivre...

Selon RFI, 600 Subsahariens auraient été expulsés car ils étaient en situation régulière. La plupart d'entre eux, seraient principalement des Maliens et des Nigériens qui se trouvaient dans le sud algérien. Bien qu'une majorité d'hommes auraient été expulsés, il y aurait eu aussi parmi tous les Subsahariens, des femmes ainsi que des enfants.
Les Nigériens se seraient révoltés de n'avoir eu aucune explication valable quant à cette expulsion. Ceux-ci auraient passé cinq jours dans un commissariat sans avoir de réponses. Certains d'entre eux ont dû être contraints de laisser leur commerce.

L’Organisation internationale pour les migrations, (OIM), aurait mis "du côté nigérien de la frontière, un dispositif d’accueil pour ces expulsés" a signalé le représentant de l'OIM à Agadez, Ismael Mahamane, en insistant sur le fait qu'on leur apportait de la nourriture et de l'eau.