Jamais cela n'était arrivé à une jeune chercheuse de Sophia-Antipolis
C'est à Sophia-Antipolis à la délégation du CNRS Côte d'Azur que s'est tenue une belle cérémonie, tout simplement, la remise de la médaille de bronze nationale qui récompense le premier travail d'un chercheur.
Isabelle Rubera, une des quarante-quatre lauréats désignés pour l'année 2007 dont onze dans le domaine Sciences du vivant a recevoir la médaille de Bronze s’est vue décerner cette récompense. Diplômée de l'Université de Nice Sophia-Antipolis (France), Docteur en Sciences de la vie et membre du Laboratoire Transport Ionique, Aspects Normaux et Pathologiques dirigé par Laurent Counillon, Isabelle Rubera, jeune et talentueuse scientifique, qui depuis 1995, n'a cessé de progresser dans : « l'implication de protéines de transports dans nos reins » qui joue un rôle vital dans le contrôle de l'homéostasie le long du néphron.
A ses côtés, son directeur de laboratoire, Laurent Counillon, de son chef d'équipe, Michel Tauc, et de Marie Florence Grenier-Loustalot, déléguée régionale qui insista sur la parité, avec 25 % de femmes au CNRS, ont, à tour de rôle, félicité et encouragé la "chercheuse", et surtout lui ont recommandé de ne pas en rester là.
Jeune et jolie, de très grands espoirs pour la recherche sont en jeux. « Mon père lutte contre la maladie, moi, j’essaie de trouver la solution ».
Et c'est devant un verre de l'amitié, avec sa famille et ses collègues, que c'est terminé cette sympathique remise de médaille, de bronze aujourd'hui mais d'argent ou d'or dans les années à venir.
Isabelle Rubera, une des quarante-quatre lauréats désignés pour l'année 2007 dont onze dans le domaine Sciences du vivant a recevoir la médaille de Bronze s’est vue décerner cette récompense. Diplômée de l'Université de Nice Sophia-Antipolis (France), Docteur en Sciences de la vie et membre du Laboratoire Transport Ionique, Aspects Normaux et Pathologiques dirigé par Laurent Counillon, Isabelle Rubera, jeune et talentueuse scientifique, qui depuis 1995, n'a cessé de progresser dans : « l'implication de protéines de transports dans nos reins » qui joue un rôle vital dans le contrôle de l'homéostasie le long du néphron.
A ses côtés, son directeur de laboratoire, Laurent Counillon, de son chef d'équipe, Michel Tauc, et de Marie Florence Grenier-Loustalot, déléguée régionale qui insista sur la parité, avec 25 % de femmes au CNRS, ont, à tour de rôle, félicité et encouragé la "chercheuse", et surtout lui ont recommandé de ne pas en rester là.
Jeune et jolie, de très grands espoirs pour la recherche sont en jeux. « Mon père lutte contre la maladie, moi, j’essaie de trouver la solution ».
Et c'est devant un verre de l'amitié, avec sa famille et ses collègues, que c'est terminé cette sympathique remise de médaille, de bronze aujourd'hui mais d'argent ou d'or dans les années à venir.