Black Friday.mp3 (3.12 Mo)
Nous nous sommes promenés sur la toile. Quelle ne fut pas notre surprise de constater que sur certains sites de magasins, des annonces avaient été produites pour annoncer cette journée de folie. Des articles divers sont proposés à des prix imbattables. Notre promenade virtuelle ne fut pas la seule de ce jour. Nous avons décidé d’arpenter des magasins pour observer l’ampleur du phénomène dans notre cher pays. Munis d’un budget de 250 euros, nous nous sommes tour à tour rendus dans des boutiques de vêtements et de chaussures. Le premier constat effectué est le montant de la promotion ce jour. 30% de réduction dans tous les magasins présents sur cette artère.
A 9h30 précise, les portes de ces magasins se sont ouvertes. Les parkings vides se sont remplis en moins de temps qu’il ne fallait laissant place à des voitures et des motos. À l’intérieur, nous nous sommes rapidement rendu compte qu’il y avait plus de femmes que d’hommes venus pour des achats. Des trois magasins visités le constat restait le même. A la question de savoir si le chiffre d’affaire était mieux que les autres jours, la réponse était oui vu les années précédentes et cette année ne serait pas une exception.
Vu que notre budget était restreint, nous sommes repartis avec des articles de qualité à moindre coût. Cela nous a tout de même permis de renouveler un tant soit peu notre garde-robe.
Comme appréciation générale, nous pouvons dire que le Black Friday était de plus en plus connu mais pas pratiqué par les magasins locaux. Plutôt ceux européens. Les clients sont des expatriés et des personnes d’un certain standing social. Vivement que tout le monde s’y mette pour que vive le Black Friday au Burkina.
A 9h30 précise, les portes de ces magasins se sont ouvertes. Les parkings vides se sont remplis en moins de temps qu’il ne fallait laissant place à des voitures et des motos. À l’intérieur, nous nous sommes rapidement rendu compte qu’il y avait plus de femmes que d’hommes venus pour des achats. Des trois magasins visités le constat restait le même. A la question de savoir si le chiffre d’affaire était mieux que les autres jours, la réponse était oui vu les années précédentes et cette année ne serait pas une exception.
Vu que notre budget était restreint, nous sommes repartis avec des articles de qualité à moindre coût. Cela nous a tout de même permis de renouveler un tant soit peu notre garde-robe.
Comme appréciation générale, nous pouvons dire que le Black Friday était de plus en plus connu mais pas pratiqué par les magasins locaux. Plutôt ceux européens. Les clients sont des expatriés et des personnes d’un certain standing social. Vivement que tout le monde s’y mette pour que vive le Black Friday au Burkina.