Bulletin météo choc en 2050 (143.88 Ko)
L’OMM a publié son analyse des températures mondiales dans la perspective des négociations annuelles sur le changement climatique, qui ont lieu à Genève du 8 au 13 février 2015.
Selon les données receuillies, la température moyenne de l’air à la surface du globe (y compris les terres émergées et les océans) a dépassé de quelque 0,57°C la moyenne calculée pour la période de référence 1961-1990, qui est de 14,00°C. À titre de comparaison, d’après les calculs de l’OMM, les températures de 2010 étaient supérieures de 0,55°C à la moyenne et celles de 2005 de 0,54°C.
Environ 93% de la chaleur piégée dans l’atmosphère par les gaz à effet de serre provenant de l’exploitation des combustibles fossiles et autres activités humaines est stockée dans les océans. Le contenu thermique des océans joue par conséquent un rôle fondamental dans le système climatique. La température moyenne à la surface des océans a atteint de nouveaux records en 2014.
L’OMM note que 2014 a connu des températures élevées en l’absence d’un véritable épisode El Niño. Ce phénomène, qui réchauffe le climat, survient lorsque des températures de surface de la mer plus élevées que la normale dans l’est du Pacifique tropical interagissent avec les systèmes de pression atmosphériques. L’année 1998 - la plus chaude avant le XXIe siècle - a été marquée par des températures élevées en même temps qu’un épisode El Niño de forte intensité.
En 2014, certains pays ont été victimes de vagues de chaleur records associées à des pluies torrentielles et à des inondations de grande ampleur tandis que d’autres ont souffert de la sécheresse, et cette situation s’inscrit dans la logique d’un climat en évolution.
Ci-dessous liste vidéos des prévisions dans le monde, avec les présentateurs météo des différents pays
Selon les données receuillies, la température moyenne de l’air à la surface du globe (y compris les terres émergées et les océans) a dépassé de quelque 0,57°C la moyenne calculée pour la période de référence 1961-1990, qui est de 14,00°C. À titre de comparaison, d’après les calculs de l’OMM, les températures de 2010 étaient supérieures de 0,55°C à la moyenne et celles de 2005 de 0,54°C.
Environ 93% de la chaleur piégée dans l’atmosphère par les gaz à effet de serre provenant de l’exploitation des combustibles fossiles et autres activités humaines est stockée dans les océans. Le contenu thermique des océans joue par conséquent un rôle fondamental dans le système climatique. La température moyenne à la surface des océans a atteint de nouveaux records en 2014.
L’OMM note que 2014 a connu des températures élevées en l’absence d’un véritable épisode El Niño. Ce phénomène, qui réchauffe le climat, survient lorsque des températures de surface de la mer plus élevées que la normale dans l’est du Pacifique tropical interagissent avec les systèmes de pression atmosphériques. L’année 1998 - la plus chaude avant le XXIe siècle - a été marquée par des températures élevées en même temps qu’un épisode El Niño de forte intensité.
En 2014, certains pays ont été victimes de vagues de chaleur records associées à des pluies torrentielles et à des inondations de grande ampleur tandis que d’autres ont souffert de la sécheresse, et cette situation s’inscrit dans la logique d’un climat en évolution.
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