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Dans une lettre ouverte au peuple brésilien publiée ce 17 décembre sur Facebook et dans un journal du Brésil, Snowden exprimait son souhait de participer à une enquête gouvernementale sur la surveillance des renseignements exercée par son ancien employeur, l’Agence nationale de sécurité (NSA) des États-Unis.
L’ancien agent de la NSA, dont l’asile temporaire en Russie expire en août, a ajouté qu’il ne pourrait pas apporter son aide s’il ne bénéficiait pas d’un "asile politique permanent".
Le Brésil n’a pas encore répondu à la demande d’asile que Snowden a présentée en juillet dernier.
"Edward Snowden a parfaitement le droit de requérir l’asile permanent et les autorités brésiliennes devraient prendre au sérieux sa demande initiale. La demande doit être examinée dans le cadre d’une procédure de détermination du statut de réfugié qui soit équitable, impartiale et efficace. Edward Snowden est en droit de chercher une protection internationale et, en vertu de la Convention relative au statut des réfugiés, le Brésil a l’obligation internationale d’examiner sa demande et d’y répondre", a déclaré Atila Roque, directeur du bureau d’Amnesty International au Brésil.
Le gouvernement brésilien a dit ce 17 décembre qu’il n’examinerait la demande que lorsqu’elle aura été déposée en bonne et due forme.
L’ancien agent de la NSA, dont l’asile temporaire en Russie expire en août, a ajouté qu’il ne pourrait pas apporter son aide s’il ne bénéficiait pas d’un "asile politique permanent".
Le Brésil n’a pas encore répondu à la demande d’asile que Snowden a présentée en juillet dernier.
"Edward Snowden a parfaitement le droit de requérir l’asile permanent et les autorités brésiliennes devraient prendre au sérieux sa demande initiale. La demande doit être examinée dans le cadre d’une procédure de détermination du statut de réfugié qui soit équitable, impartiale et efficace. Edward Snowden est en droit de chercher une protection internationale et, en vertu de la Convention relative au statut des réfugiés, le Brésil a l’obligation internationale d’examiner sa demande et d’y répondre", a déclaré Atila Roque, directeur du bureau d’Amnesty International au Brésil.
Le gouvernement brésilien a dit ce 17 décembre qu’il n’examinerait la demande que lorsqu’elle aura été déposée en bonne et due forme.