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Il aura lieu cette année encore au lendemain de Thanksgiving en Amérique du Nord. Véritable jour quasi-férié aux États-Unis, il verra de nouveau affluer les consommateurs les plus acharnés, prêts à se bagarrer pour le dernier gadget, ou un simple vêtement à des tarifs défiants toute concurrence.
C'est le Black Friday. Si le terme n’est pas nouveau, datant selon les sources du début des années 50, ou de la fin des sixties, son origine est elle aussi très floue. Désignant soit l’affluence sur les routes américaines au week-end de Thanksgiving, soit la période où les commerçants sortaient du rouge et pouvaient donc tenir leur comptabilité au stylo noir.
Le Black Friday est aujourd’hui une véritable fête mercantile. Un jour, ou même une semaine où les prix chutent parfois jusqu’à moins 90% afin de favoriser les achats. Et si on emploie de plus en plus ce terme en France depuis trois ans, c’est qu’il a quitté petit à petit les États-Unis et le Canada pour créer des ersatz en France. Tout y passe, des sites internets spécialisés jusqu’aux boulangeries. Il est devenu un levier pour booster une période compliquée, prise entre la rentrée scolaire, et les achats de décembre.
Décrié par certains pour sa vision consumériste, lynché par les associations de protection de l’environnement comme un accélérateur de pollution, par l’affluence et le gaspillage qu’il engendrerait, il trouve son public auprès des consommateurs ravis d’avoir une nouvelle période de "soldes" en fin d’année.
C'est le Black Friday. Si le terme n’est pas nouveau, datant selon les sources du début des années 50, ou de la fin des sixties, son origine est elle aussi très floue. Désignant soit l’affluence sur les routes américaines au week-end de Thanksgiving, soit la période où les commerçants sortaient du rouge et pouvaient donc tenir leur comptabilité au stylo noir.
Le Black Friday est aujourd’hui une véritable fête mercantile. Un jour, ou même une semaine où les prix chutent parfois jusqu’à moins 90% afin de favoriser les achats. Et si on emploie de plus en plus ce terme en France depuis trois ans, c’est qu’il a quitté petit à petit les États-Unis et le Canada pour créer des ersatz en France. Tout y passe, des sites internets spécialisés jusqu’aux boulangeries. Il est devenu un levier pour booster une période compliquée, prise entre la rentrée scolaire, et les achats de décembre.
Décrié par certains pour sa vision consumériste, lynché par les associations de protection de l’environnement comme un accélérateur de pollution, par l’affluence et le gaspillage qu’il engendrerait, il trouve son public auprès des consommateurs ravis d’avoir une nouvelle période de "soldes" en fin d’année.