Puissante voix féminine rencontrée chez Champion et Ben Charest (Les Triplettes de Belleville) Betty Bonifassi, à mi-chemin entre voix soul et flow menaçant. Elle tutoie diables et démons sur des textes tourmentés, presque livrés en mode spoken word. Quelque chose dévore Betty de l’intérieur; c’est d’autant plus évident lorsqu’on la voit performer. Énergie tellurique, déchaînée, qui vient du ventre: une vraie beastie girl.
L’autre tête, c'est celle de Jean-Phi, connu et apprécié pour son travail avec Plaster, Pierre Lapointe, Ariane Moffatt, et même Lauryn Hill des Fugees. Il conçoit des beats ciselés, sales, fabrique des grooves médusants, et joue de tous les instruments.
En spectacle Serge Nakauchi-Pelletier (Pawa Up First, aKido) et Jonathan Dauphinais (Perkins) s’ajoutent à l’alignement. Et alors, comme une transe, une idée fixe, une dépendance ou une maladie, la bête vous prend tout le corps et répond par l’instinct à toutes les interrogations. Après s’être infiltrée par les chansons de Betty et de Jean-Phi, Beast fait son nid dans votre oreille.
Ce « trip rock » tendu comme un arc s’appuie sur des beats irrésistibles, rythmé par le flow d’une Betty à fleur de peau. Un souci du détail précis et judicieux jusque dans les arrangements: cordes lyriques, piano délicat, programmations électro, lorsque nécessaire, bien que l’ensemble soit essentiellement organique.
La rencontre inattendue entre un multi-instrumentiste inspiré et une chanteuse solide, qui chante avec ses tripes et son âme, risque fort d'en imposer encore davantage avec Beast. Une sacrée belle bête qui mord, pique… et éblouit.
Disque d’or au Canada, le 1er album de Beast est également sorti en Allemagne fin octobre.
Le groupe a également été nominé aux Grammy Awards dans la catégorie Vidéo clip de l’année. Le groupe affrontera dans cette catégorie les Black Eyed Peas, Coldplay, Depeche Mode et Oren Lavie.
http://www.beastsound.net/
L’autre tête, c'est celle de Jean-Phi, connu et apprécié pour son travail avec Plaster, Pierre Lapointe, Ariane Moffatt, et même Lauryn Hill des Fugees. Il conçoit des beats ciselés, sales, fabrique des grooves médusants, et joue de tous les instruments.
En spectacle Serge Nakauchi-Pelletier (Pawa Up First, aKido) et Jonathan Dauphinais (Perkins) s’ajoutent à l’alignement. Et alors, comme une transe, une idée fixe, une dépendance ou une maladie, la bête vous prend tout le corps et répond par l’instinct à toutes les interrogations. Après s’être infiltrée par les chansons de Betty et de Jean-Phi, Beast fait son nid dans votre oreille.
Ce « trip rock » tendu comme un arc s’appuie sur des beats irrésistibles, rythmé par le flow d’une Betty à fleur de peau. Un souci du détail précis et judicieux jusque dans les arrangements: cordes lyriques, piano délicat, programmations électro, lorsque nécessaire, bien que l’ensemble soit essentiellement organique.
La rencontre inattendue entre un multi-instrumentiste inspiré et une chanteuse solide, qui chante avec ses tripes et son âme, risque fort d'en imposer encore davantage avec Beast. Une sacrée belle bête qui mord, pique… et éblouit.
Disque d’or au Canada, le 1er album de Beast est également sorti en Allemagne fin octobre.
Le groupe a également été nominé aux Grammy Awards dans la catégorie Vidéo clip de l’année. Le groupe affrontera dans cette catégorie les Black Eyed Peas, Coldplay, Depeche Mode et Oren Lavie.
http://www.beastsound.net/