"Une série d'attaques violentes a récemment visé des journalistes et travailleurs des médias, et un blogueur a même été tué: cela montre qu'il est urgent de mieux protéger les personnes qui commentent les audiences du tribunal bangladais pour les crimes de guerre".
Lors de la dernière agression, survenue mercredi 20 février, un journaliste d'un site web a été grièvement blessé.
Les personnes ciblées comprennent des journalistes et des blogueurs qui demandent au Tribunal pour les crimes de droit international (ICT) de prononcer des condamnations à mort contre les accusés qui auraient commis des atteintes massives aux droits humains pendant la guerre d'indépendance du Bangladesh, en 1971.
"Étant donné la situation extrêmement tendue au Bangladesh, le risque est réel que le gouvernement utilise la modification législative pour faire pression afin que les personnes déclarées coupables par le Tribunal soient condamnées à mort", a indiqué Abbas Faiz, spécialiste du Bangladesh pour Amnesty International. "Les autorités doivent faire tout leur possible pour que ceux qui risquent de subir des représailles pour avoir suivi les travaux de l'ICT ou être entrés en rapport avec ce tribunal reçoivent la protection nécessaire. Tous doivent pouvoir exercer sans crainte leur droit à la liberté d'expression".
Lors de la dernière agression, survenue mercredi 20 février, un journaliste d'un site web a été grièvement blessé.
Les personnes ciblées comprennent des journalistes et des blogueurs qui demandent au Tribunal pour les crimes de droit international (ICT) de prononcer des condamnations à mort contre les accusés qui auraient commis des atteintes massives aux droits humains pendant la guerre d'indépendance du Bangladesh, en 1971.
"Étant donné la situation extrêmement tendue au Bangladesh, le risque est réel que le gouvernement utilise la modification législative pour faire pression afin que les personnes déclarées coupables par le Tribunal soient condamnées à mort", a indiqué Abbas Faiz, spécialiste du Bangladesh pour Amnesty International. "Les autorités doivent faire tout leur possible pour que ceux qui risquent de subir des représailles pour avoir suivi les travaux de l'ICT ou être entrés en rapport avec ce tribunal reçoivent la protection nécessaire. Tous doivent pouvoir exercer sans crainte leur droit à la liberté d'expression".
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