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Après 17 heures de négociations, un texte a été remis aux 27 mambres de l'Union européenne, permettant enfin de commencer la négociation générale. Le montant des crédits d'engagement est de 960 milliards d'euros, soit 13 milliards de moins que le chiffre sur lequel les dirigeants s'étaient séparés, après l'échec du premier sommet sur le budget en novembre dernier. Un peu faible car c'est à peu près le niveau du budget de l'Europe quand elle comptait 15 membres. Au final, le montant devrait se négocier sur une baisse de 3%, limité à 1% du PIB européen.
Le Premier ministre du Royaume-Uni, David Cameron l'intransigeant, campe sa position: "L'UE ne devrait pas être exempte de la pression sous laquelle nous sommes de réduire nos dépenses".
La chancelière allemande Angel Merkel exprime sa volonté de "faire attention à la dépense tout en ménageant la solidarité entre le nord et le sud de l'Europe".
François Hollande affirme: "Si l'Europe devait, pour chercher un compromis à toute force, abandonner ses politiques communes, oublier l'agriculture et ignorer la croissance, je ne serais pas d'accord". Par ailleurs, la presse britannique fait écho du refus du Président français d'assister à une rencontre avec David Cameron, Angela Merkel, José Manuel Barroso et Herman Van Rompuy.
Le président du Parlement européen, Martin Schulz met en garde: "C'est le Parlement qui a le dernier mot. Nous sommes prêts au dialogue, mais je ne crois pas que nous serons d'accord si on nous dit: marche ou crève".
Quel que soit l'accord final de ce Sommet budgétaire européen, il s'inscrira dans le contexte d'austérité mondial, en affichant pour la première fois une baisse.
Le Premier ministre du Royaume-Uni, David Cameron l'intransigeant, campe sa position: "L'UE ne devrait pas être exempte de la pression sous laquelle nous sommes de réduire nos dépenses".
La chancelière allemande Angel Merkel exprime sa volonté de "faire attention à la dépense tout en ménageant la solidarité entre le nord et le sud de l'Europe".
François Hollande affirme: "Si l'Europe devait, pour chercher un compromis à toute force, abandonner ses politiques communes, oublier l'agriculture et ignorer la croissance, je ne serais pas d'accord". Par ailleurs, la presse britannique fait écho du refus du Président français d'assister à une rencontre avec David Cameron, Angela Merkel, José Manuel Barroso et Herman Van Rompuy.
Le président du Parlement européen, Martin Schulz met en garde: "C'est le Parlement qui a le dernier mot. Nous sommes prêts au dialogue, mais je ne crois pas que nous serons d'accord si on nous dit: marche ou crève".
Quel que soit l'accord final de ce Sommet budgétaire européen, il s'inscrira dans le contexte d'austérité mondial, en affichant pour la première fois une baisse.