Acte terroriste nouvelle version ou déséquilibrés solitaires?
Barbarie_Londres.mp3 (272.53 Ko)
C'est à proximité de la caserne militaire de la Royal artillery à Woolwich, située au sud-est de Londres qu'un homme a été sauvagement assassiné.
Une passante courageuse, Ingrid Loyau-Kennett a essayé de défier en vain les meurtriers. Ses déclarations corroborent avec les témoins sur places qui ont rapporté les propos des deux hommes de couleur: "Démarrer une guerre à Londres ce soir" ou "Allah est le plus grand"... L'un des assassins agité a été filmé, comme il le réclamait. Cette vidéo a été largement diffusée avec les déclarations de ces présumés terroristes d'un genre nouveau.
Une nouvelle orchestration du fanatisme enrôlerait-elle des kamikazes à mourir en vedette? La question se pose tant la mise en scène macabre semble avoir été la règle, puisqu'ils n'ont jamais cherché à fuir ni a dissimuler leur visage, poussant même l'horreur à expliquer pendant de longues minutes leur acte barbare. L'enquête en cours déterminera si cette piste terroriste privilégiée aujourd'hui reste la seule a explorer.
Le Premier ministre britannique David Cameron, très touché lors de la réunion de crise au 10 Downing Street, a déclaré: "Le meurtre d'un jeune soldat britannique mercredi dans une rue de Londres n'était pas seulement une attaque contre la Grande-Bretagne et le mode de vie britannique. C'était aussi une trahison de l'islam et des communautés qui apportent tant à notre pays".
Le président français François Hollande a déclaré concernant ce meurtre: "J’exprime toute ma solidarité à l’égard de David Cameron et du Royaume-Uni, à la suite du lâche assassinat d’un soldat britannique. Nous devons lutter contre le terrorisme partout, ce qui suppose d’échanger nos informations, de travailler avec nos services de renseignement respectifs et d’agir partout".
Patrick Ventrell, porte-parole du département d’État des États-Unis, a également témoigné: "Nous nous tenons aux côtés de notre allié britannique confronté à une violence insensée".
Une passante courageuse, Ingrid Loyau-Kennett a essayé de défier en vain les meurtriers. Ses déclarations corroborent avec les témoins sur places qui ont rapporté les propos des deux hommes de couleur: "Démarrer une guerre à Londres ce soir" ou "Allah est le plus grand"... L'un des assassins agité a été filmé, comme il le réclamait. Cette vidéo a été largement diffusée avec les déclarations de ces présumés terroristes d'un genre nouveau.
Une nouvelle orchestration du fanatisme enrôlerait-elle des kamikazes à mourir en vedette? La question se pose tant la mise en scène macabre semble avoir été la règle, puisqu'ils n'ont jamais cherché à fuir ni a dissimuler leur visage, poussant même l'horreur à expliquer pendant de longues minutes leur acte barbare. L'enquête en cours déterminera si cette piste terroriste privilégiée aujourd'hui reste la seule a explorer.
Le Premier ministre britannique David Cameron, très touché lors de la réunion de crise au 10 Downing Street, a déclaré: "Le meurtre d'un jeune soldat britannique mercredi dans une rue de Londres n'était pas seulement une attaque contre la Grande-Bretagne et le mode de vie britannique. C'était aussi une trahison de l'islam et des communautés qui apportent tant à notre pays".
Le président français François Hollande a déclaré concernant ce meurtre: "J’exprime toute ma solidarité à l’égard de David Cameron et du Royaume-Uni, à la suite du lâche assassinat d’un soldat britannique. Nous devons lutter contre le terrorisme partout, ce qui suppose d’échanger nos informations, de travailler avec nos services de renseignement respectifs et d’agir partout".
Patrick Ventrell, porte-parole du département d’État des États-Unis, a également témoigné: "Nous nous tenons aux côtés de notre allié britannique confronté à une violence insensée".