Une visite symbolique
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Pour le locataire de la Maison Blanche, depuis le renouvellement de son bail, c'est la première tournée à l'étranger. Pour certains Israéliens, sa venue était déjà attendue lors de son premier mandat.
Côté palestinien ce début de semaine était plutôt mouvementé: des manifestants ont brûlé les portraits du président américain pour dénoncer le refus de reconnaître un État palestinien. Quant au député indépendant, Moustapha Barghouti, il a dénoncé la "passivité de la communauté internationale, en particulier des États-Unis".
Barack Obama a toutefois expliqué, en répondant avant son départ aux questions des journalistes d'une chaîne de télévision israélienne qu'il reconnaissait qu'en ce qui concerne le conflit israélo-palestinien, "il est difficile en ce moment - en raison de la formation de la coalition israélienne - de rapprocher les deux parties pour des pourparlers directs".
Le Président des États-Unis a été accueilli par son homologue israélien Shimon Peres et par le Premier ministre Benyamin Netanyahou, après la visite d'une batterie du système antimissiles "Dôme de fer", une invention israélienne développée en partie grâce à un financement américain.
Obama séjournera à Jérusalem où il prononcera jeudi au Centre des conventions un discours à l'intention du peuple israélien. L'assistance sera composée en partie d'étudiants. Ce sera sans doute un des forts de cette visite officielle, tout comme la double rencontre prévue avec le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou avant et après son entretien avec Mahmoud Abbas, à Ramallah, pouvant donner l'espoir d'un renouveau dans les discussions entre Israël et l’Autorité palestinienne.
Le Président américain terminera ce programme-marathon par la Jordanie en rencontrant le roi Abdallah II, avant de s'octroyer quelques heures de tourisme samedi matin sur le site antique de Petra, classé patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1985.
Côté palestinien ce début de semaine était plutôt mouvementé: des manifestants ont brûlé les portraits du président américain pour dénoncer le refus de reconnaître un État palestinien. Quant au député indépendant, Moustapha Barghouti, il a dénoncé la "passivité de la communauté internationale, en particulier des États-Unis".
Barack Obama a toutefois expliqué, en répondant avant son départ aux questions des journalistes d'une chaîne de télévision israélienne qu'il reconnaissait qu'en ce qui concerne le conflit israélo-palestinien, "il est difficile en ce moment - en raison de la formation de la coalition israélienne - de rapprocher les deux parties pour des pourparlers directs".
Le Président des États-Unis a été accueilli par son homologue israélien Shimon Peres et par le Premier ministre Benyamin Netanyahou, après la visite d'une batterie du système antimissiles "Dôme de fer", une invention israélienne développée en partie grâce à un financement américain.
Obama séjournera à Jérusalem où il prononcera jeudi au Centre des conventions un discours à l'intention du peuple israélien. L'assistance sera composée en partie d'étudiants. Ce sera sans doute un des forts de cette visite officielle, tout comme la double rencontre prévue avec le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou avant et après son entretien avec Mahmoud Abbas, à Ramallah, pouvant donner l'espoir d'un renouveau dans les discussions entre Israël et l’Autorité palestinienne.
Le Président américain terminera ce programme-marathon par la Jordanie en rencontrant le roi Abdallah II, avant de s'octroyer quelques heures de tourisme samedi matin sur le site antique de Petra, classé patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1985.