La Commission européenne annonce l’octroie de 2 millions d’euros (1 300 000 000 fcfa) afin de combattre la propagation des maladies, en particulier du choléra, et mieux préparer les populations à réagir aux épidémies. Grâce à ce nouveau financement, la Commission s’engage à contribuer à réduire le risque de transmission du choléra mais aussi, entre autres, de la méningite et de la fièvre jaune. On estime que sur les 30 dernières années, les épidémies ont représenté plus de 40% des catastrophes naturelles en Afrique de l’ouest.
Aider les populations les plus vulnérables à mieux se prémunir contre ces épidémies, qui surviennent régulièrement, année après année, est une priorité. Les actions menées permettront d’épargner aux populations les plus vulnérables le coût important que représentent les épidémies tant pour leurs vies, leur santé et leurs moyens de subsistance.
Cette année, l’épidémie de choléra en Guinée Bissau a recensé plus de 13.000 cas et causé la mort de près de 220 personnes. La Commission a réagi dès le mois de septembre avec l’octroi de fonds pour venir en aide aux populations touchées. Ce financement faisant suite à l’octroi de plus de 6 millions d’euros depuis 2004 pour secourir les populations touchées par les épidémies en Afrique de l’Ouest.
Consciente que le combat contre les épidémies se prépare en amont, cette nouvelle décision qui allie pour la première fois, la réduction du risque et la réponse aux épidémies, sera allouée pour une partie à des activités liées à l’eau et l’hygiène, vecteur important dans le cas du choléra, sans oublier un volet médical aussi important allié à des activités de coordination et de préparation de la réponse. Les actions proposées seront focalisées dans les zones plus à risque pendant les périodes de flambées épidémiques avec un objectif de mise en œuvre rapide et coordonnée. Le travail de préparation est fondamental pour la mise en place de réponses efficaces dès les premiers signes de l’épidémie afin de sauver des vies et limiter la propagation des maladies.
Cette nouvelle enveloppe est canalisée à travers le Service d’aide humanitaire de la Commission européenne (ECHO), sous la responsabilité du Commissaire Louis Michel, en soutien à des projets mis en oeuvre par des partenaires opérationnels tels que les Agences spécialisées des Nations Unies ou des Organisations Humanitaires Non Gouvernementales (ONG).
L’Union européenne est l’un des plus importants donateurs d’aide humanitaire dans le monde. Depuis 1992, la Commission européenne a financé et coordonné des opérations humanitaires dans plus de 100 pays étrangers à l’Union. Le Service d’aide humanitaire de la commission européenne, fournit une aide directe aux peuples en détresse, indépendamment de leur nationalité, religion, sexe ou origine ethnique.
Pour plus d’informations, contacter
Claire Barrault / Stéphane Quinton
Bureau régional du Service d’aide humanitaire de la Commission européenne, Dakar
Agir face à l’urgence
+221 33 869 8000 / +221 77 529 72 77 –
westafrica@echoce.org
Aider les populations les plus vulnérables à mieux se prémunir contre ces épidémies, qui surviennent régulièrement, année après année, est une priorité. Les actions menées permettront d’épargner aux populations les plus vulnérables le coût important que représentent les épidémies tant pour leurs vies, leur santé et leurs moyens de subsistance.
Cette année, l’épidémie de choléra en Guinée Bissau a recensé plus de 13.000 cas et causé la mort de près de 220 personnes. La Commission a réagi dès le mois de septembre avec l’octroi de fonds pour venir en aide aux populations touchées. Ce financement faisant suite à l’octroi de plus de 6 millions d’euros depuis 2004 pour secourir les populations touchées par les épidémies en Afrique de l’Ouest.
Consciente que le combat contre les épidémies se prépare en amont, cette nouvelle décision qui allie pour la première fois, la réduction du risque et la réponse aux épidémies, sera allouée pour une partie à des activités liées à l’eau et l’hygiène, vecteur important dans le cas du choléra, sans oublier un volet médical aussi important allié à des activités de coordination et de préparation de la réponse. Les actions proposées seront focalisées dans les zones plus à risque pendant les périodes de flambées épidémiques avec un objectif de mise en œuvre rapide et coordonnée. Le travail de préparation est fondamental pour la mise en place de réponses efficaces dès les premiers signes de l’épidémie afin de sauver des vies et limiter la propagation des maladies.
Cette nouvelle enveloppe est canalisée à travers le Service d’aide humanitaire de la Commission européenne (ECHO), sous la responsabilité du Commissaire Louis Michel, en soutien à des projets mis en oeuvre par des partenaires opérationnels tels que les Agences spécialisées des Nations Unies ou des Organisations Humanitaires Non Gouvernementales (ONG).
L’Union européenne est l’un des plus importants donateurs d’aide humanitaire dans le monde. Depuis 1992, la Commission européenne a financé et coordonné des opérations humanitaires dans plus de 100 pays étrangers à l’Union. Le Service d’aide humanitaire de la commission européenne, fournit une aide directe aux peuples en détresse, indépendamment de leur nationalité, religion, sexe ou origine ethnique.
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