Manchots empereur
Le Prince Albert II poursuit son voyage écologique et scientifique dans l'Antarctique. Parti de Puntas Arenas, ville du sud chilien, il a rejoint l’île du Roi George dans l'archipel des Shetland où sont concentrées la plupart des bases. Il a commencé la visite des 26 qui sont à son programme, dépendant de 18 pays différents dont la Russie, la Chine, l'Uruguay, la Corée du Sud, le Brésil, la Pologne, les scientifiques qui y travaillent explorent plusieurs domaines, notamment courants marins, microbiologie, glaciologie, climatologie ou astronomie. SAS Albert II a visité celle de Bellinghausen où les chercheurs russes travaillent sur les lichens qui renseignent particulièrement bien sur le réchauffement climatique. En habitué de ces territoires extrêmes, en 2006 déjà il s’était rendu dans l'Arctique, il doit faire face aux difficultés quotidiennes de ces zones, glace, neige, vents déchaînés, altitude, mer démontée mais le pittoresque ne manque pas, les colonies de manchots que l'on croise ou une baleine qui passe dans les environs...
En ces temps de crise où on nous rebat les oreilles avec la perte de pouvoir d'achat, le moral en berne, cela réchauffe le cœur de voir que le luxe se porte toujours aussi bien... Le Monte Carlo Travel Market est là pour nous le prouver et pour la cinquième fois, cette année les 9, 10 et 11 janvier à l’Espace Ravel du Grimaldi Forum. Des centaines d'exposants venus du monde entier y accueillent une clientèle fort aisée recherchant du haut de gamme en matière de voyages et de services. Des milliardaires qu'on dit de plus en plus nombreux et dont certains pays émergents regorgent, tels la Chine, l'Inde, le Brésil ou la Russie…Tous les caprices, les plus folles envies peuvent être satisfaits. Circuits fabuleux, séjours dans des endroits paradisiaques, croisières en yacht, s'adressant à un public souvent blasé et avide d'originalité On y attend 15 000 clients individuels, ceux qu'on appelle parfois ultra-rich individual URI, et quelque 550 acheteurs internationaux, soit encore plus que l'an passé.
En matière de tourisme la Principauté veut développer tous ses atouts et plus que jamais car les temps sont difficiles et c'est un secteur qui risque d'en pâtir assez vite. Les professionnels concernés étaient réunis autour d'un représentant de la direction du Tourisme et sont tout disposés à jouer le jeu du tourisme responsable et à appliquer 300 mesures qui sont recommandées pour lutter contre une baisse de fréquentation, un label vert peut être le point de départ d'une nouvelle conception du tourisme.
Nous avions évoqué à plusieurs reprises ces végétaux victimes d'insectes rongeurs, cette fois c'est au tour du règne animal d'être frappé. On vient d'apprendre en effet qu'au Marineland d'Antibes, Sharkan, une orque de 27 ans, pesant plus de 2 tonnes, a été victime d'une bactérie particulièrement redoutable. Il s'agit de la Pseudomonas aeruginosa, connue aussi sous le nom de bacille pyocyanique, l'une des plus difficiles à traiter du fait de sa résistance aux antibiotiques et antiseptiques, c'est d'ailleurs elle qui est la cause de certaines affections nosocomiales. Malgré trois mois de soins dispensés par le personnel du Marineland et des Parques reunidos dont fait maintenant partie l'établissement d'Antibes, malgré l'intervention d'experts de grandes institutions internationales, rien n'y a fait. D'ailleurs aucune orque malade n'a survécu à ce terrible agent bactérien. Il faut quand même se rassurer, les autres orques n'ont rien à craindre et on imagine bien qu'elles doivent être particulièrement surveillées.
Le conflit opposant la direction de la SNCF aux conducteurs de trains en grève dans les Alpes-Maritimes s'éternise, ceux-ci n'acceptent toujours pas les nouvelles cadences mises en service à la mi-décembre, soit 20 % de trafic supplémentaire. Ailleurs en PACA on a repris le travail, seules les Alpes-Maritimes résistent avec un service minimum proposé aux voyageurs qui après leur journée de travail doivent attendre d'hypothétiques trains pour rentrer chez eux et commencent à s'impatienter.
En ces temps de crise où on nous rebat les oreilles avec la perte de pouvoir d'achat, le moral en berne, cela réchauffe le cœur de voir que le luxe se porte toujours aussi bien... Le Monte Carlo Travel Market est là pour nous le prouver et pour la cinquième fois, cette année les 9, 10 et 11 janvier à l’Espace Ravel du Grimaldi Forum. Des centaines d'exposants venus du monde entier y accueillent une clientèle fort aisée recherchant du haut de gamme en matière de voyages et de services. Des milliardaires qu'on dit de plus en plus nombreux et dont certains pays émergents regorgent, tels la Chine, l'Inde, le Brésil ou la Russie…Tous les caprices, les plus folles envies peuvent être satisfaits. Circuits fabuleux, séjours dans des endroits paradisiaques, croisières en yacht, s'adressant à un public souvent blasé et avide d'originalité On y attend 15 000 clients individuels, ceux qu'on appelle parfois ultra-rich individual URI, et quelque 550 acheteurs internationaux, soit encore plus que l'an passé.
En matière de tourisme la Principauté veut développer tous ses atouts et plus que jamais car les temps sont difficiles et c'est un secteur qui risque d'en pâtir assez vite. Les professionnels concernés étaient réunis autour d'un représentant de la direction du Tourisme et sont tout disposés à jouer le jeu du tourisme responsable et à appliquer 300 mesures qui sont recommandées pour lutter contre une baisse de fréquentation, un label vert peut être le point de départ d'une nouvelle conception du tourisme.
Nous avions évoqué à plusieurs reprises ces végétaux victimes d'insectes rongeurs, cette fois c'est au tour du règne animal d'être frappé. On vient d'apprendre en effet qu'au Marineland d'Antibes, Sharkan, une orque de 27 ans, pesant plus de 2 tonnes, a été victime d'une bactérie particulièrement redoutable. Il s'agit de la Pseudomonas aeruginosa, connue aussi sous le nom de bacille pyocyanique, l'une des plus difficiles à traiter du fait de sa résistance aux antibiotiques et antiseptiques, c'est d'ailleurs elle qui est la cause de certaines affections nosocomiales. Malgré trois mois de soins dispensés par le personnel du Marineland et des Parques reunidos dont fait maintenant partie l'établissement d'Antibes, malgré l'intervention d'experts de grandes institutions internationales, rien n'y a fait. D'ailleurs aucune orque malade n'a survécu à ce terrible agent bactérien. Il faut quand même se rassurer, les autres orques n'ont rien à craindre et on imagine bien qu'elles doivent être particulièrement surveillées.
Le conflit opposant la direction de la SNCF aux conducteurs de trains en grève dans les Alpes-Maritimes s'éternise, ceux-ci n'acceptent toujours pas les nouvelles cadences mises en service à la mi-décembre, soit 20 % de trafic supplémentaire. Ailleurs en PACA on a repris le travail, seules les Alpes-Maritimes résistent avec un service minimum proposé aux voyageurs qui après leur journée de travail doivent attendre d'hypothétiques trains pour rentrer chez eux et commencent à s'impatienter.