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Quotidien international diffusé en podcast
Saviez-vous que à l'origine "crèche" signifiait "mangeoire"? Aujourd'hui, on l'utilise pour désigner le lieu où sont gardés les enfants en bas âge et, en rapport avec la Nativité, la scène présentant l'enfant Jésus à Bethléem, dans une mangeoire, entouré des animaux de l'étable qui le réchauffent.
Dans la Crèche de Noël, on place l'enfant Jésus au centre, encadré par Marie (très souvent représentée à genoux) et Joseph, accompagnés de l'âne qui a transporté Marie enceinte et du bœuf qui a réchauffé le nouveau né de son souffle. Des bergers avec leurs agneaux peuvent accompagner la scène: la nouvelle de la naissance du Christ aurait été annoncée en premier à eux. D'autres personnages - comme les Rois Mages, des représentants de différents corps de métier - peuvent être également placés, avec des animaux de la ferme ou d'autres, portant des cadeaux: "le chien accompagnant le chasseur, les poules et coqs de basse-cour, le cochon sur la place du village, les oies auprès du pont, l'âne qui porte la farine du meunier,..."
"Entre le bœuf et l'âne gris,
Dort, dort, dort le petit fils
Mille anges divins, mille séraphins
Volent à l'entour
De ce Dieu d'amour.
- Entre les roses et les lis, dort, dort...
- Entre les pastoureaux jolis, dort, dort...
- Entre les deux bras de Marie, dort, dort..."
Les paroles de cette chanson font référence à la crèche où est né Jésus, et où figurent traditionnellement un âne et un bœuf.
L'occasion pour le Podcast Journal Animal de faire découvrir le bœuf et l'âne, les 2 animaux principaux.
"Entre le bœuf et l'âne gris,
Dort, dort, dort le petit fils
Mille anges divins, mille séraphins
Volent à l'entour
De ce Dieu d'amour.
- Entre les roses et les lis, dort, dort...
- Entre les pastoureaux jolis, dort, dort...
- Entre les deux bras de Marie, dort, dort..."
Les paroles de cette chanson font référence à la crèche où est né Jésus, et où figurent traditionnellement un âne et un bœuf.
L'occasion pour le Podcast Journal Animal de faire découvrir le bœuf et l'âne, les 2 animaux principaux.
Ane
L'âne avec ses singuliers attributs physiques (oreilles) ou psychologiques (entêtement) intervient de multiples façons dans l'imaginaire et ses expressions graphiques, picturales, etc.
L’âne fait partie de la famille des Équidés avec le cheval et le zèbre. L’âne, d’origine africaine, a été domestiqué en Égypte vers – 5 000 ans. Il s’est ensuite répandu jusqu’en Chine. L’âne sauvage de Somalie est l’ancêtre de l’âne domestique.
Il est difficile de rester insensible à la tête si expressive et à la douceur des yeux de l’âne. Il y a plus de 5000 ans, l’âne partageait déjà le quotidien de l’homme. Aujourd’hui, il existe toujours des millions d’ânes dans le monde et notamment dans les pays en voie de développement.
Dans les pays occidentaux, la machine a remplacé l’animal. Après une réduction drastique des effectifs, l’âne est redevenu populaire avec l’engouement du public pour les randonnées.
Si l’âne est bien un animal domestique, son entretien en tant qu’animal de compagnie réclame une bonne connaissance de ses besoins.
Il est faux de penser que cet animal demande peu de soins.
Des groupes d’éleveurs ont entrepris de réhabiliter l’âne en mettant en valeur des races régionales. Chaque race repose sur un standard précis.
Il existe plus d’une vingtaine de races asines dans le monde. Chaque race correspond à un besoin particulier.Âne est le nom vernaculaire donné à certaines espèces de mammifères quadrupèdes de taille moyenne et à longues oreilles de la famille des équidés. Le plus connu des ânes est l'âne commun (Equus asinus) qui a été domestiqué et à partir duquel de nombreuses races ont pu être sélectionnées.
Aujourd’hui, cet animal est toujours utilisé comme bête de somme dans de nombreux pays en voie de développement.
Les populations d’ânes sauvages sont de plus en plus réduites et toutes figurent sur la Liste rouge de l’UICN. On comptabilise 4 espèces d’ânes si l'on compte l'espèce domestiquée (Equus asinus) issue de l'âne sauvage d'Afrique.
Sources: Wikipedia, Terra Nova
L'âne avec ses singuliers attributs physiques (oreilles) ou psychologiques (entêtement) intervient de multiples façons dans l'imaginaire et ses expressions graphiques, picturales, etc.
L’âne fait partie de la famille des Équidés avec le cheval et le zèbre. L’âne, d’origine africaine, a été domestiqué en Égypte vers – 5 000 ans. Il s’est ensuite répandu jusqu’en Chine. L’âne sauvage de Somalie est l’ancêtre de l’âne domestique.
Il est difficile de rester insensible à la tête si expressive et à la douceur des yeux de l’âne. Il y a plus de 5000 ans, l’âne partageait déjà le quotidien de l’homme. Aujourd’hui, il existe toujours des millions d’ânes dans le monde et notamment dans les pays en voie de développement.
Dans les pays occidentaux, la machine a remplacé l’animal. Après une réduction drastique des effectifs, l’âne est redevenu populaire avec l’engouement du public pour les randonnées.
Si l’âne est bien un animal domestique, son entretien en tant qu’animal de compagnie réclame une bonne connaissance de ses besoins.
Il est faux de penser que cet animal demande peu de soins.
Des groupes d’éleveurs ont entrepris de réhabiliter l’âne en mettant en valeur des races régionales. Chaque race repose sur un standard précis.
Il existe plus d’une vingtaine de races asines dans le monde. Chaque race correspond à un besoin particulier.Âne est le nom vernaculaire donné à certaines espèces de mammifères quadrupèdes de taille moyenne et à longues oreilles de la famille des équidés. Le plus connu des ânes est l'âne commun (Equus asinus) qui a été domestiqué et à partir duquel de nombreuses races ont pu être sélectionnées.
Aujourd’hui, cet animal est toujours utilisé comme bête de somme dans de nombreux pays en voie de développement.
Les populations d’ânes sauvages sont de plus en plus réduites et toutes figurent sur la Liste rouge de l’UICN. On comptabilise 4 espèces d’ânes si l'on compte l'espèce domestiquée (Equus asinus) issue de l'âne sauvage d'Afrique.
Sources: Wikipedia, Terra Nova
Bœuf
Bos taurus (Linnaeus, 1758), ou Bos primigenius taurus, ou Bos primigenius f. taurus, est le nom scientifique donné à l'ensemble des bovins domestiques de l'Ancien Monde issus des différentes sous-espèces de Bos primigenius, l'aurochs sauvage. Deux sous-espèces principales existent : Bos taurus taurus, la vache domestique d'Europe, et Bos taurus indicus, le zébu.
Bos taurus a été domestiqué il y a 10 000 ans au Moyen-Orient, avant que son élevage se développe progressivement sur l'ensemble de la planète. Ses premières fonctions furent la production de viande de bœuf et de lait et le travail. Les bovins permettent également la production de cuir, de cornes pour les couteaux, ou de bouses pour le chauffage et la fertilisation des sols.
Les bovins ont toujours passionné l'homme, pour lequel le taureau est un symbole de force et la vache de fertilité. C'est pourquoi ces animaux sont présents dans diverses religions. Ils symbolisent généralement la force, la virilité, l’énergie, la vigueur ou encore la fertilité.
Au IVe siècle, le bœuf apparaît dans les représentations de la Nativité comme un symbole de la patience qui réchauffe Jésus de son souffle.
C'est sans conteste dans la civilisation indienne que le culte des bovins est le plus poussé. La vache y est sacrée depuis le Ve siècle av. J.-C. En effet, les hindous la considèrent comme l'incarnation de tous les dieux, et interdisent qu'on la tue. Dans la légende hindoue, Krishna, un des dieux les plus vénérés, a été élevé au milieu d'un troupeau de vaches. Vishnu, en tant que sauveur de la Terre, est également appelé Govinda : le vacher.
Aujourd'hui encore, une grande partie de la population considère encore les vaches comme des animaux sacrés. Les veaux ont encore droit à une bénédiction religieuse, comme tout nouvel enfant dans la famille. L'abattage des vaches est d'ailleurs strictement interdit en Inde, à l'exception du Bengale-Occidental et de Kerala. Les vaches y sont libres de se promener dans les rues et jusque sur les autoroutes. Elles n'ont pas de vocation à être mangées avant leur mort naturelle. Leur lait, le lait caillé (yaourt), le beurre et le ghee (beurre clarifié), leurs bouses et même leur urine étaient utilisés. Une fois morte de vieillesse, accident ou maladie, leur peau peut être utilisée par certaines castes pour faire du cuir et d'autres peuvent en manger la viande.
Bos taurus (Linnaeus, 1758), ou Bos primigenius taurus, ou Bos primigenius f. taurus, est le nom scientifique donné à l'ensemble des bovins domestiques de l'Ancien Monde issus des différentes sous-espèces de Bos primigenius, l'aurochs sauvage. Deux sous-espèces principales existent : Bos taurus taurus, la vache domestique d'Europe, et Bos taurus indicus, le zébu.
Bos taurus a été domestiqué il y a 10 000 ans au Moyen-Orient, avant que son élevage se développe progressivement sur l'ensemble de la planète. Ses premières fonctions furent la production de viande de bœuf et de lait et le travail. Les bovins permettent également la production de cuir, de cornes pour les couteaux, ou de bouses pour le chauffage et la fertilisation des sols.
Les bovins ont toujours passionné l'homme, pour lequel le taureau est un symbole de force et la vache de fertilité. C'est pourquoi ces animaux sont présents dans diverses religions. Ils symbolisent généralement la force, la virilité, l’énergie, la vigueur ou encore la fertilité.
Au IVe siècle, le bœuf apparaît dans les représentations de la Nativité comme un symbole de la patience qui réchauffe Jésus de son souffle.
C'est sans conteste dans la civilisation indienne que le culte des bovins est le plus poussé. La vache y est sacrée depuis le Ve siècle av. J.-C. En effet, les hindous la considèrent comme l'incarnation de tous les dieux, et interdisent qu'on la tue. Dans la légende hindoue, Krishna, un des dieux les plus vénérés, a été élevé au milieu d'un troupeau de vaches. Vishnu, en tant que sauveur de la Terre, est également appelé Govinda : le vacher.
Aujourd'hui encore, une grande partie de la population considère encore les vaches comme des animaux sacrés. Les veaux ont encore droit à une bénédiction religieuse, comme tout nouvel enfant dans la famille. L'abattage des vaches est d'ailleurs strictement interdit en Inde, à l'exception du Bengale-Occidental et de Kerala. Les vaches y sont libres de se promener dans les rues et jusque sur les autoroutes. Elles n'ont pas de vocation à être mangées avant leur mort naturelle. Leur lait, le lait caillé (yaourt), le beurre et le ghee (beurre clarifié), leurs bouses et même leur urine étaient utilisés. Une fois morte de vieillesse, accident ou maladie, leur peau peut être utilisée par certaines castes pour faire du cuir et d'autres peuvent en manger la viande.
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(c) Podcast Journal
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