Intitulé "Beyond Tokenism: The need to license community radio stations in Zimbabwe", ce rapport présente en détail la répression que subissent ceux qui se mobilisent en faveur de l’octroi de licences aux stations de radio communautaires, conformément à la Constitution zimbabwéenne. Ils sont en effet arrêtés par la police, et surveillés, harcelés et intimidés par les services de la sécurité d’État.
"Malgré les promesses faites et les lois promulguées il y a plus de 14 ans en vue de libéraliser les ondes et de les ouvrir aux radios communautaires, qui ont un grand rôle à jouer, le gouvernement du Zimbabwe n’a pas tenu ses promesses ni ses engagements", a déclaré Deprose Muchena, directeur pour l’Afrique australe à Amnesty International.
"Malgré les promesses faites et les lois promulguées il y a plus de 14 ans en vue de libéraliser les ondes et de les ouvrir aux radios communautaires, qui ont un grand rôle à jouer, le gouvernement du Zimbabwe n’a pas tenu ses promesses ni ses engagements", a déclaré Deprose Muchena, directeur pour l’Afrique australe à Amnesty International.