Les autorités doivent déclarer un moratoire formel sur les exécutions à titre de première étape vers l'abolition de la peine capitale. Il y a encore 95 condamnés à mort dans les prisons du Zimbabwe.
La dernière exécution a eu lieu en juillet 2005, mais on dénombre encore 95 condamnés à mort dans les prisons du Zimbabwe. Amnesty International appelle à présent le Zimbabwe à déclarer un moratoire officiel sur les exécutions et à abolir totalement la peine capitale qui constitue le châtiment le plus cruel, inhumain et dégradant qui soit.
"Dix ans sans une seule exécution, cela représente une étape très importante sur la voie de l'abolition de la peine de mort, mais l'ombre de la potence continue de planer sur les 95 condamnés à mort qui se trouvent actuellement dans les prisons du Zimbabwe", a déclaré Deprose Muchena, directeur d'Amnesty International pour l'Afrique australe.
La dernière exécution a eu lieu en juillet 2005, mais on dénombre encore 95 condamnés à mort dans les prisons du Zimbabwe. Amnesty International appelle à présent le Zimbabwe à déclarer un moratoire officiel sur les exécutions et à abolir totalement la peine capitale qui constitue le châtiment le plus cruel, inhumain et dégradant qui soit.
"Dix ans sans une seule exécution, cela représente une étape très importante sur la voie de l'abolition de la peine de mort, mais l'ombre de la potence continue de planer sur les 95 condamnés à mort qui se trouvent actuellement dans les prisons du Zimbabwe", a déclaré Deprose Muchena, directeur d'Amnesty International pour l'Afrique australe.