Photo (c) CESEU 2013
A l’issue des deux journées intenses de travail, les quelques 180 participants ont réussi à dégager de nouvelles pistes de réflexion sur l’avenir de l’approfondissement de la construction européenne.
Le Centre Européen de Recherche et de Prospective Politique (CEREPPOL) a engagé un dialogue multi-niveau et multi-phase avec les membres du Comité, présents à l’occasion du workshop dédié. Le thème retenu par les participants a permis de faire valoir un certain nombre d’arguments en faveur d’une réappropriation du lien naturel par les citoyens européens.
Le workshop, animé et coordonné par le CEREPPOL, a conduit à la formulation d’une question d’intérêt général majeure pour l’Union européenne. Le résultat de ce long travail de recherche et de concertation va permettre, selon toute vraisemblance, de relancer la dynamique européenne actuellement en souffrance.
D’un commun accord, le sujet retenu pour sa pertinence, compte tenu du contexte révélé par la Grande-Bretagne à l’égard de l’Europe*, a mis en valeur un certain nombre d’évolutions souhaitables en Europe que les Institutions devront sérieusement prendre en considération d’ici 2014.
"Inscrire le Traité de Lisbonne dans une architecture constitutionnelle efficiente" constitue la trame de fond à partir de laquelle le groupe de réflexion a émis un certain nombre d’objectifs. Cette démarche doit concourir de la réactivation du sentiment d’appartenance à une Europe unie et convergente, et réussir la transformation d’un essai qui n’a pas eu la chance d’être marqué après la CIG de Laeken (décembre 2001).
En hommage au travail minutieux des Conventionnels, et par respect des engagements chers au président Valery Giscard D’Estaing, François Di Salvo (président du CEREPPOL) ravive un travail hautement technique pour que l’Europe sorte plus unie et plus grandie. Cette démarche a été saluée par l’ensemble des membres constituant le Comité économique et social européen présents, d’autant que le projet a le mérite de relancer une certaine idée de l’approfondissement de l’Union.
* Voir la vidéo ci-dessous
Le Centre Européen de Recherche et de Prospective Politique (CEREPPOL) a engagé un dialogue multi-niveau et multi-phase avec les membres du Comité, présents à l’occasion du workshop dédié. Le thème retenu par les participants a permis de faire valoir un certain nombre d’arguments en faveur d’une réappropriation du lien naturel par les citoyens européens.
Le workshop, animé et coordonné par le CEREPPOL, a conduit à la formulation d’une question d’intérêt général majeure pour l’Union européenne. Le résultat de ce long travail de recherche et de concertation va permettre, selon toute vraisemblance, de relancer la dynamique européenne actuellement en souffrance.
D’un commun accord, le sujet retenu pour sa pertinence, compte tenu du contexte révélé par la Grande-Bretagne à l’égard de l’Europe*, a mis en valeur un certain nombre d’évolutions souhaitables en Europe que les Institutions devront sérieusement prendre en considération d’ici 2014.
"Inscrire le Traité de Lisbonne dans une architecture constitutionnelle efficiente" constitue la trame de fond à partir de laquelle le groupe de réflexion a émis un certain nombre d’objectifs. Cette démarche doit concourir de la réactivation du sentiment d’appartenance à une Europe unie et convergente, et réussir la transformation d’un essai qui n’a pas eu la chance d’être marqué après la CIG de Laeken (décembre 2001).
En hommage au travail minutieux des Conventionnels, et par respect des engagements chers au président Valery Giscard D’Estaing, François Di Salvo (président du CEREPPOL) ravive un travail hautement technique pour que l’Europe sorte plus unie et plus grandie. Cette démarche a été saluée par l’ensemble des membres constituant le Comité économique et social européen présents, d’autant que le projet a le mérite de relancer une certaine idée de l’approfondissement de l’Union.
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