Le Conseil a adopté le 2 octobre une résolution, déposée par l'Arabie saoudite au nom des États arabes impliqués dans le conflit et du gouvernement yéménite d'Abd Rabbu Mansour Hadi, qui ne prévoit pas la création d'un mécanisme international chargé d'enquêter sur les violations perpétrées par toutes les parties belligérantes.
"Cette résolution reflète l'incapacité du Conseil à s'acquitter de sa responsabilité de garantir la justice et l'obligation de rendre des comptes, et revient à dire que la communauté internationale n'est pas déterminée à mettre un terme à la souffrance des civils au Yémen", a déclaré James Lynch, directeur adjoint du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d'Amnesty International.
"Cette résolution reflète l'incapacité du Conseil à s'acquitter de sa responsabilité de garantir la justice et l'obligation de rendre des comptes, et revient à dire que la communauté internationale n'est pas déterminée à mettre un terme à la souffrance des civils au Yémen", a déclaré James Lynch, directeur adjoint du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d'Amnesty International.