Un tribunal de la capitale, Hanoï, a prononcé mercredi 2 octobre une peine de 30 mois d’emprisonnement à l’encontre de l’un des plus célèbres dissidents du pays, Le Quoc Quan, pour évasion fiscale, une accusation forgée de toutes pièces.
"Ce jugement grotesque n’est qu’un nouvel exemple montrant clairement que les autorités vietnamiennes harcèlent et emprisonnent ceux qui les critiquent pacifiquement en exprimant des opinions opposées aux leurs", a souligné Isabelle Arradon, directrice adjointe du programme Asie-Pacifique d’Amnesty International.
"Ce jugement grotesque n’est qu’un nouvel exemple montrant clairement que les autorités vietnamiennes harcèlent et emprisonnent ceux qui les critiquent pacifiquement en exprimant des opinions opposées aux leurs", a souligné Isabelle Arradon, directrice adjointe du programme Asie-Pacifique d’Amnesty International.