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La vaccination a déjà commencé en octobre dans les établissements de soins. "Pour la population, cette campagne débutera le 12 novembre", a précisé Jean-Jacques Campana, Conseiller du gouvernement, en soulignant qu'il s'agit d'une vaccination volontaire et non obligatoire.
Deux centres assureront l'administration du vaccin - gratuit - sous surveillance médicale: le hall de la salle omnisports du Stade Luois II (7 avenue des Castelans), du lundi au vendredi entre 12 et 19h; et l'Office de la Médecine du Travail (24, avenue de Fontvieille), en fonctions des besoins.
La priorité est donnée aux femmes enceintes et aux personnes qui ont des nourrissons dans leur entourage, au personnel hospitalier, aux personnes présentant des facteurs de risques.
Les bons de vaccination gratuite seront adressés à toute la population, à partir de là, il suffit de se présenter dans les 10 jours pour obtenir le vaccin. "Si toutefois vous ne pouvez pas respecter ce délai, des exceptions peuvent être faites, mais dans le but de pouvoir mieux gérer les milliers de vaccinations, il est préférable de venir pendant la période indiqué sur le bon" - a précisé Mr. Campana, en ajoutant que: "On n'a pas affaire à une 'grippette', ce n'est pas comme cela que j'appellerais un virus qui peut conduire en service de réanimation".
A chacun de voir s'il souhaite ou pas être vacciné, mais pour ceux qui craignent les effets du vaccin, le gouvernement se veut rassurant en rappelant que des millions de personnes ont déjà été vaccinés dans le monde, sans aucun problème.
Deux centres assureront l'administration du vaccin - gratuit - sous surveillance médicale: le hall de la salle omnisports du Stade Luois II (7 avenue des Castelans), du lundi au vendredi entre 12 et 19h; et l'Office de la Médecine du Travail (24, avenue de Fontvieille), en fonctions des besoins.
La priorité est donnée aux femmes enceintes et aux personnes qui ont des nourrissons dans leur entourage, au personnel hospitalier, aux personnes présentant des facteurs de risques.
Les bons de vaccination gratuite seront adressés à toute la population, à partir de là, il suffit de se présenter dans les 10 jours pour obtenir le vaccin. "Si toutefois vous ne pouvez pas respecter ce délai, des exceptions peuvent être faites, mais dans le but de pouvoir mieux gérer les milliers de vaccinations, il est préférable de venir pendant la période indiqué sur le bon" - a précisé Mr. Campana, en ajoutant que: "On n'a pas affaire à une 'grippette', ce n'est pas comme cela que j'appellerais un virus qui peut conduire en service de réanimation".
A chacun de voir s'il souhaite ou pas être vacciné, mais pour ceux qui craignent les effets du vaccin, le gouvernement se veut rassurant en rappelant que des millions de personnes ont déjà été vaccinés dans le monde, sans aucun problème.
Deux numéros ont été mis en service pour les informations: 08 00 91 44 97 et 08 00 91 54 79.
PRÉSENTATION DE LA CAMPAGNE DE VACCINATION CONTRE LA GRIPPE A/ H1 N1
Le Gouvernement Princier a mis en place, avec l’appui logistique des Autorités françaises, un plan de vaccination contre la grippe A/H1 N1 afin de proposer cette vaccination à l’ensemble des résidents et des assurés sociaux de la Principauté et notamment aux personnes présentant un facteur de risque particulier.
Il s’agit d’une vaccination volontaire et gratuite.
Actuellement, la circulation du virus est relativement modérée en Principauté avec :
une stabilité des consultations hospitalières pour grippe de l’ordre d’une quinzaine par semaine,
aucun cas grave ayant justifié une hospitalisation,
aucun cas groupé avéré dans les établissements scolaires.
Une recrudescence de l’épidémie est toutefois constatée dans un certain nombre de régions et de grandes villes françaises et on peut donc craindre une circulation plus active du virus au cours des prochaines semaines.
Le virus A/H1 N1 a un tableau clinique particulier puisqu’il touche plus spécifiquement les jeunes, 42% des hospitalisations en France concernent des enfants de moins de 15 ans. Il peut avoir, pour certaines personnes, des conséquences graves allant jusqu’à des syndromes de détresse respiratoire aiguë nécessitant une prise en charge en unité de réanimation.
Se vacciner, c’est donc, non seulement se protéger, mais aussi protéger ses proches et notamment parmi ceux-ci, les personnes les plus fragiles, ou celles qui présentent des facteurs de risque.
La campagne de vaccination a débuté en Principauté le 26 octobre dans les établissements de soins.
Les médecins et les infirmiers libéraux ont également été invités à se faire vacciner dans les locaux du Centre Hospitalier Princesse Grace.
Pour la population, la campagne de vaccination débutera le 12 novembre pour une durée de l’ordre de 4 mois.
Deux centres de vaccination sont prévus :
un centre principal dans le hall de la salle omnisports du Stade Louis II, 7, avenue des Castelans,
un centre secondaire, dont l’activation sera décidée en fonction des besoins, dans les locaux de l’Office de la Médecine du Travail, 24, avenue de Fontvieille.
Le centre du Stade Louis II fonctionnera du lundi au vendredi de 12h à 19h, dans un premier temps.
Certaines catégories de la population, comme les élèves de secondaire ou les pensionnaires de maisons de retraite, seront prises en charge, toujours sur la base du volontariat, par des équipes mobiles intervenant dans les établissements.
Pour réguler l’activité des centres de vaccination, des bons de vaccination seront expédiés de façon échelonnée à l’ensemble de la population en tenant compte des priorités déterminées par les Autorités sanitaires sur la base des facteurs de risque des diverses catégories de population.
Ces catégories prioritaires sont les suivantes :
les personnels de santé et de réanimation néonatale et pédiatrique,
les personnels médical, paramédical et aide-soignant des établissements de santé, et les médecins et infirmiers libéraux,
les femmes enceintes à compter du second trimestre de grossesse,
l’entourage des nourrissons de moins de 6 mois,
les personnels des établissements médico-sociaux, dont ceux chargés de l’accueil de la petite enfance,
les nourrissons âgés de 6 à 23 mois avec facteur de risque,
les sujets âgés de 2 à 64 ans avec facteur de risque,
les autres professionnels de santé, personnels de la chaîne de secours et les transporteurs sanitaires,
les nourrissons de 6 à 23 mois sans facteur de risque,
les personnels d’accueil des pharmacies,
les personnes âgées de plus de 65 ans avec facteur de risque,
les enfants de 2 à 18 ans,
les personnes âgées de plus de 18 ans.
Pour les femmes enceintes de plus de 3 mois et les enfants âgés de 6 à 23 mois, les Autorités sanitaires recommandent la vaccination avec un vaccin sans adjuvant qui ne sera pas disponible en début de campagne.
La vaccination de cette catégorie de population débutera donc dans les prochaines semaines dès que les centres auront été approvisionnés avec ce type de vaccins.
Pour les enfants âgés de moins de 6 mois la vaccination n’est pas recommandée, leur protection passe donc par une couverture vaccinale de leur entourage.
Les organismes sociaux n’ont pas toutefois connaissance de l’ensemble des personnes susceptibles de se trouver en contact étroit avec des nourrissons, comme les grands parents ou les employés de maison qui assureraient leur garde de façon habituelle.
Ces personnes, ainsi que les parents d’enfants de moins de 6 mois qui n’auraient pas reçu de bon de vaccination en fin de semaine, sont donc invités à présenter une demande de vaccination prioritaire dès le début de la campagne de vaccination en contactant le 08.00.91.44.97. ou le 08.00.91.54.79.
Ces mêmes numéros sont à contacter par les personnes qui :
souhaitent s’assurer qu’elles sont inscrites,
ou ont des difficultés médicales avérées pour se déplacer auprès des centres de vaccination, une prise en charge par une équipe mobile pouvant dans ce cas être décidée.
Dans tous les cas, la décision de vacciner sera prise par un médecin suite à un questionnaire médical et le geste vaccinal sera réalisé par du personnel infirmier habilité.
Les moyens informatiques nécessaires à l’organisation de la traçabilité de la vaccination ont été prévus. Un certificat de vaccination sera délivré après la seconde injection, une stratégie de vaccination en deux temps espacés d’au moins trois semaines étant à ce jour retenue en l’attente de résultats de tests cliniques portant sur l’efficacité d’une injection unique.
En ce qui concerne l’organisation pratique de la campagne, il est demandé aux personnes qui ont décidé de se faire vacciner d’aider à son bon déroulement en se présentant au centre désigné sur le bon de vaccination dans les 10 jours de sa réception et en prenant soin de se munir :
du bon de vaccination,
d’un justificatif d’identité,
du questionnaire médical renseigné.
Les personnes qui éprouvent de la difficulté pour remplir ce questionnaire pourront le renseigner lors de l’entretien médical avec le médecin du centre.
Celles enfin qui, compte tenu de leur situation particulière et notamment de leurs antécédents médicaux, s’interrogent sur l’indication d’une vaccination dans leur cas, seront invitées à se rapprocher de leur médecin traitant.
Il s’agit d’une vaccination volontaire et gratuite.
Actuellement, la circulation du virus est relativement modérée en Principauté avec :
une stabilité des consultations hospitalières pour grippe de l’ordre d’une quinzaine par semaine,
aucun cas grave ayant justifié une hospitalisation,
aucun cas groupé avéré dans les établissements scolaires.
Une recrudescence de l’épidémie est toutefois constatée dans un certain nombre de régions et de grandes villes françaises et on peut donc craindre une circulation plus active du virus au cours des prochaines semaines.
Le virus A/H1 N1 a un tableau clinique particulier puisqu’il touche plus spécifiquement les jeunes, 42% des hospitalisations en France concernent des enfants de moins de 15 ans. Il peut avoir, pour certaines personnes, des conséquences graves allant jusqu’à des syndromes de détresse respiratoire aiguë nécessitant une prise en charge en unité de réanimation.
Se vacciner, c’est donc, non seulement se protéger, mais aussi protéger ses proches et notamment parmi ceux-ci, les personnes les plus fragiles, ou celles qui présentent des facteurs de risque.
La campagne de vaccination a débuté en Principauté le 26 octobre dans les établissements de soins.
Les médecins et les infirmiers libéraux ont également été invités à se faire vacciner dans les locaux du Centre Hospitalier Princesse Grace.
Pour la population, la campagne de vaccination débutera le 12 novembre pour une durée de l’ordre de 4 mois.
Deux centres de vaccination sont prévus :
un centre principal dans le hall de la salle omnisports du Stade Louis II, 7, avenue des Castelans,
un centre secondaire, dont l’activation sera décidée en fonction des besoins, dans les locaux de l’Office de la Médecine du Travail, 24, avenue de Fontvieille.
Le centre du Stade Louis II fonctionnera du lundi au vendredi de 12h à 19h, dans un premier temps.
Certaines catégories de la population, comme les élèves de secondaire ou les pensionnaires de maisons de retraite, seront prises en charge, toujours sur la base du volontariat, par des équipes mobiles intervenant dans les établissements.
Pour réguler l’activité des centres de vaccination, des bons de vaccination seront expédiés de façon échelonnée à l’ensemble de la population en tenant compte des priorités déterminées par les Autorités sanitaires sur la base des facteurs de risque des diverses catégories de population.
Ces catégories prioritaires sont les suivantes :
les personnels de santé et de réanimation néonatale et pédiatrique,
les personnels médical, paramédical et aide-soignant des établissements de santé, et les médecins et infirmiers libéraux,
les femmes enceintes à compter du second trimestre de grossesse,
l’entourage des nourrissons de moins de 6 mois,
les personnels des établissements médico-sociaux, dont ceux chargés de l’accueil de la petite enfance,
les nourrissons âgés de 6 à 23 mois avec facteur de risque,
les sujets âgés de 2 à 64 ans avec facteur de risque,
les autres professionnels de santé, personnels de la chaîne de secours et les transporteurs sanitaires,
les nourrissons de 6 à 23 mois sans facteur de risque,
les personnels d’accueil des pharmacies,
les personnes âgées de plus de 65 ans avec facteur de risque,
les enfants de 2 à 18 ans,
les personnes âgées de plus de 18 ans.
Pour les femmes enceintes de plus de 3 mois et les enfants âgés de 6 à 23 mois, les Autorités sanitaires recommandent la vaccination avec un vaccin sans adjuvant qui ne sera pas disponible en début de campagne.
La vaccination de cette catégorie de population débutera donc dans les prochaines semaines dès que les centres auront été approvisionnés avec ce type de vaccins.
Pour les enfants âgés de moins de 6 mois la vaccination n’est pas recommandée, leur protection passe donc par une couverture vaccinale de leur entourage.
Les organismes sociaux n’ont pas toutefois connaissance de l’ensemble des personnes susceptibles de se trouver en contact étroit avec des nourrissons, comme les grands parents ou les employés de maison qui assureraient leur garde de façon habituelle.
Ces personnes, ainsi que les parents d’enfants de moins de 6 mois qui n’auraient pas reçu de bon de vaccination en fin de semaine, sont donc invités à présenter une demande de vaccination prioritaire dès le début de la campagne de vaccination en contactant le 08.00.91.44.97. ou le 08.00.91.54.79.
Ces mêmes numéros sont à contacter par les personnes qui :
souhaitent s’assurer qu’elles sont inscrites,
ou ont des difficultés médicales avérées pour se déplacer auprès des centres de vaccination, une prise en charge par une équipe mobile pouvant dans ce cas être décidée.
Dans tous les cas, la décision de vacciner sera prise par un médecin suite à un questionnaire médical et le geste vaccinal sera réalisé par du personnel infirmier habilité.
Les moyens informatiques nécessaires à l’organisation de la traçabilité de la vaccination ont été prévus. Un certificat de vaccination sera délivré après la seconde injection, une stratégie de vaccination en deux temps espacés d’au moins trois semaines étant à ce jour retenue en l’attente de résultats de tests cliniques portant sur l’efficacité d’une injection unique.
En ce qui concerne l’organisation pratique de la campagne, il est demandé aux personnes qui ont décidé de se faire vacciner d’aider à son bon déroulement en se présentant au centre désigné sur le bon de vaccination dans les 10 jours de sa réception et en prenant soin de se munir :
du bon de vaccination,
d’un justificatif d’identité,
du questionnaire médical renseigné.
Les personnes qui éprouvent de la difficulté pour remplir ce questionnaire pourront le renseigner lors de l’entretien médical avec le médecin du centre.
Celles enfin qui, compte tenu de leur situation particulière et notamment de leurs antécédents médicaux, s’interrogent sur l’indication d’une vaccination dans leur cas, seront invitées à se rapprocher de leur médecin traitant.