Photo (c) Pauline Maheu-César
Le 15 octobre 2016, une commémoration en présence du chef de l’État a eu lieu sur la colline du château.
La France a reçu le soutien du conseil de sécurité de l’ONU, et des ses branches de lutte contre le terrorisme. Des messages parvinrent des quatre coins du globe, du président des États-Unis jusqu'au Premier ministre brésilien en passant par le chef du gouvernement canadien. Mais également des nations européennes comme la Russie et l’Allemagne.
L'estimation globale des indemnisations s'élève à 300 millions d'euros. Au lendemain de la commémoration ce sont 150.000 euros qui sont versés aux victimes, mais toutes n'ont pas encore été indemnisées. Certaines victimes sont toujours hospitalisées, et la surveillance à Nice est devenue partielle car il n’y a plus de contrôles de la part des forces de l’ordre. Seuls quelques militaires veillent à la sécurité des riverains et semblent rassurer les habitants. C’est un retour à la normale, mais personne n’est en mesure de comprendre comment ce drame a pu se dérouler.
La France a reçu le soutien du conseil de sécurité de l’ONU, et des ses branches de lutte contre le terrorisme. Des messages parvinrent des quatre coins du globe, du président des États-Unis jusqu'au Premier ministre brésilien en passant par le chef du gouvernement canadien. Mais également des nations européennes comme la Russie et l’Allemagne.
L'estimation globale des indemnisations s'élève à 300 millions d'euros. Au lendemain de la commémoration ce sont 150.000 euros qui sont versés aux victimes, mais toutes n'ont pas encore été indemnisées. Certaines victimes sont toujours hospitalisées, et la surveillance à Nice est devenue partielle car il n’y a plus de contrôles de la part des forces de l’ordre. Seuls quelques militaires veillent à la sécurité des riverains et semblent rassurer les habitants. C’est un retour à la normale, mais personne n’est en mesure de comprendre comment ce drame a pu se dérouler.
Illustration (c) Jean-Jacques Beltramo
Ce choc a eu pour réaction le rassemblement du peuple et l’entraide. Mais à l’heure où les rues ne sont plus désertées et que la paranoïa des riverains a disparu, les événements phares de la Côte d’Azur sont à nouveaux autorisés.
Les avis sont partagés quant à la décision de commémorer, trois mois après, une tragédie qui replonge les Niçois dans une douleur à peine cicatrisée.
Les avis sont partagés quant à la décision de commémorer, trois mois après, une tragédie qui replonge les Niçois dans une douleur à peine cicatrisée.