C’est un nouveau prototype de test VIH jetable qu’a expérimenté une équipe de scientifiques britanniques. Cette innovation est destinée en tout premier lieu aux territoires les plus pauvres ou les plus reculés du monde.
Pour faire fonctionner le test on dépose une goutte de sang sur une puce électronique intégrée à une clé USB que l’on connecte par la suite à un ordinateur. Traité par un logiciel spécifique, en moins d’une demi-heure cette technologie nous permet d’obtenir les résultats. Les études effectuées par les chercheurs démontreraient une efficacité du test de 95 %. Ce nouvel autotest est donc une opportunité pour les pays médicalement les moins bien équipés, si toutefois, en plus de la clé USB, la population peut avoir accès à un ordinateur et son logiciel adapté.
Cette clé USB pourrait avoir une application plus large que le dépistage, en suivant aussi l’évolution de la maladie et l’efficacité des traitements suivis par les patients. Enfin elle pourrait voir son champ d’action élargi afin de dépister et suivre d’autres virus que le VIH.
Alors, demain peut-être, la conjugaison de la recherche médicale et du développement des technologies numériques, permettront de développer de plus en plus d’outils de dépistage et de suivi sans supervision médicale directe, amenant chacun, où qu’il soit dans le monde, à être un acteur plus éclairé et plus actif de sa santé.
Pour faire fonctionner le test on dépose une goutte de sang sur une puce électronique intégrée à une clé USB que l’on connecte par la suite à un ordinateur. Traité par un logiciel spécifique, en moins d’une demi-heure cette technologie nous permet d’obtenir les résultats. Les études effectuées par les chercheurs démontreraient une efficacité du test de 95 %. Ce nouvel autotest est donc une opportunité pour les pays médicalement les moins bien équipés, si toutefois, en plus de la clé USB, la population peut avoir accès à un ordinateur et son logiciel adapté.
Cette clé USB pourrait avoir une application plus large que le dépistage, en suivant aussi l’évolution de la maladie et l’efficacité des traitements suivis par les patients. Enfin elle pourrait voir son champ d’action élargi afin de dépister et suivre d’autres virus que le VIH.
Alors, demain peut-être, la conjugaison de la recherche médicale et du développement des technologies numériques, permettront de développer de plus en plus d’outils de dépistage et de suivi sans supervision médicale directe, amenant chacun, où qu’il soit dans le monde, à être un acteur plus éclairé et plus actif de sa santé.