Lors de cette attaque visant Fernando Vidal, 78 ans, propriétaire et animateur de Radio Popular à Yacuiba, près de la frontière avec l’Argentine, un technicien du studio a également été blessé. Selon certaines informations, le journaliste avait récemment dénoncé la recrudescence de la contrebande dans la région et critiqué les autorités locales à la radio.
"Cette terrible agression constitue l’un des pires faits de violences dont ont été victimes les journalistes en Bolivie ces dernières années. Les autorités boliviennes doivent diligenter une enquête indépendante et impartiale, en vue de traduire en justice dans les meilleurs délais les auteurs présumés de ces faits. Si la récente décision de la Cour constitutionnelle de supprimer l’outrage du Code pénal bolivien constitue une initiative positive, cette agression montre que la liberté d’expression - et la liberté de la presse - reste menacée en Bolivie", a déclaré Javier Zuñiga, conseiller spécial d’Amnesty International.
"Cette terrible agression constitue l’un des pires faits de violences dont ont été victimes les journalistes en Bolivie ces dernières années. Les autorités boliviennes doivent diligenter une enquête indépendante et impartiale, en vue de traduire en justice dans les meilleurs délais les auteurs présumés de ces faits. Si la récente décision de la Cour constitutionnelle de supprimer l’outrage du Code pénal bolivien constitue une initiative positive, cette agression montre que la liberté d’expression - et la liberté de la presse - reste menacée en Bolivie", a déclaré Javier Zuñiga, conseiller spécial d’Amnesty International.