Shakira en concert à Bucarest le 7 mai 2011 (c) A. Trifan
J’attendais depuis des mois ce jour-là ; je savais que, par coïncidence, juste avant mon anniversaire, un petit cadeau musical allait arriver de très loin – Shakira en concert le 7 mai à Bucarest.
Malgré le temps horrible pour un mois si beau, j’étais décidée à y aller. J’ai convaincu facilement quelques proches pour m'accompagner.
Il y a eu avant elle "Bosquito" avec une musique latino rythmée et ensuite Smiley, un artiste très talentueux dont les chansons touchent souvent le domaine chaleureux du reggae que j’apprécie sincèrement.
Arrivée presque à temps, la déesse est apparue vers 21h, avec mouvements et notes déjà connues, en saluant et remerciant tout le monde pour être resté malgré la pluie.
Des chansons, des danses pleines d’énergie, dialogues, chaleur, amour et joie de vivre ont coulé, aussi beau que les pétales d’un arbre fleuri. Tout le monde s’est senti heureux et gai, moi j’ai participé avec toute mon âme ‘bajo la lluvia’ (sous la pluie) et j’ai ‘dévoré’ les superbes "Whenever, wherever", "Hips don’t lie", "Sale el sol", "La tortura", le fameux "Waka waka" du final mais aussi toutes les autres chansons.
Le moment magique, quand la pluie a cessé, a été d'enlever ma pèlerine de pluie et de danser sur la Place de Constitutiei, où le concert a eu lieu comme si j’étais sous un palmier aux Seychelles. Son sourire et ses mots resteront longtemps dans mon cœur; la musique est vraiment une chance pour garder l’éternité en nous, pour avoir une âme toujours jeune, pour ‘fleurir’ comme personne à part entière. Et, même si Dieu est éternel, en gardant la musique dedans, notre cœur pourra un jour renaître, comme un arbre… comme le sable qui réapparait après chaque vague...
Malgré le temps horrible pour un mois si beau, j’étais décidée à y aller. J’ai convaincu facilement quelques proches pour m'accompagner.
Il y a eu avant elle "Bosquito" avec une musique latino rythmée et ensuite Smiley, un artiste très talentueux dont les chansons touchent souvent le domaine chaleureux du reggae que j’apprécie sincèrement.
Arrivée presque à temps, la déesse est apparue vers 21h, avec mouvements et notes déjà connues, en saluant et remerciant tout le monde pour être resté malgré la pluie.
Des chansons, des danses pleines d’énergie, dialogues, chaleur, amour et joie de vivre ont coulé, aussi beau que les pétales d’un arbre fleuri. Tout le monde s’est senti heureux et gai, moi j’ai participé avec toute mon âme ‘bajo la lluvia’ (sous la pluie) et j’ai ‘dévoré’ les superbes "Whenever, wherever", "Hips don’t lie", "Sale el sol", "La tortura", le fameux "Waka waka" du final mais aussi toutes les autres chansons.
Le moment magique, quand la pluie a cessé, a été d'enlever ma pèlerine de pluie et de danser sur la Place de Constitutiei, où le concert a eu lieu comme si j’étais sous un palmier aux Seychelles. Son sourire et ses mots resteront longtemps dans mon cœur; la musique est vraiment une chance pour garder l’éternité en nous, pour avoir une âme toujours jeune, pour ‘fleurir’ comme personne à part entière. Et, même si Dieu est éternel, en gardant la musique dedans, notre cœur pourra un jour renaître, comme un arbre… comme le sable qui réapparait après chaque vague...