Mercredi 11 septembre, Moad al Hnesh, ingénieur libyen de 34 ans, comparaîtra devant le tribunal pénal de Zawiya pour crimes contre l’État, en raison de ses activités au Royaume-Uni pendant le conflit libyen de 2011. S’il est déclaré coupable, il encourt la réclusion à perpétuité.
"Qu’un jeune homme risque de passer le reste de sa vie en prison pour avoir exprimé des opinions politiques que les autorités considèrent comme inadmissibles amène à se demander si la Libye a changé depuis l'ère Kadhafi", a souligné Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.
"Qu’un jeune homme risque de passer le reste de sa vie en prison pour avoir exprimé des opinions politiques que les autorités considèrent comme inadmissibles amène à se demander si la Libye a changé depuis l'ère Kadhafi", a souligné Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.