Un système d'artillerie non guidé de type Grad aurait été utilisé dans cette frappe, mais on ne sait pas clairement d'où venait l'attaque. Un bus civil a été touché alors qu'il passait un poste de contrôle militaire se trouvant aux mains des forces pro-Kiev, dans la ville de Volnovakha.
"Le monde a besoin de connaître la vérité sur cet événement tragique. Cette attaque doit faire l'objet d'une enquête exhaustive, impartiale et indépendante, car il est possible qu'elle constitue une atteinte aux lois de la guerre. Soit les responsables de cette attaque se sont abstenus de prendre des mesures pour protéger les civils, ainsi que l'exige le droit international humanitaire, soit il s'agissait d'un acte délibéré, ce qui constituerait un crime de guerre", a déclaré Denis Krivosheev, directeur adjoint du programme Europe et Asie centrale d'Amnesty International.
Des photographies qui ont circulé sur les médias sociaux après les faits ont montré le bus avec les fenêtres explosées et les flancs grêlés d'impacts d'éclats. On voit par ailleurs du sang dans la neige le long du véhicule.
Peu après l'attaque, des sites d'information séparatistes ont indiqué que le poste de contrôle ukrainien avait été détruit. Mais un haut représentant de la République populaire de Donetsk autoproclamée, les autorités de fait dans cette zone, aurait plus tard affirmé que leur artillerie n'était pas assez puissante pour atteindre ce poste de contrôle.
Un cessez-le-feu de pure forme a été conclu en Ukraine orientale en septembre 2014, mais plus de 1400 personnes ont été tuées depuis lors, les deux camps se livrant à un nombre croissant d'attaques en représailles.
"Le monde a besoin de connaître la vérité sur cet événement tragique. Cette attaque doit faire l'objet d'une enquête exhaustive, impartiale et indépendante, car il est possible qu'elle constitue une atteinte aux lois de la guerre. Soit les responsables de cette attaque se sont abstenus de prendre des mesures pour protéger les civils, ainsi que l'exige le droit international humanitaire, soit il s'agissait d'un acte délibéré, ce qui constituerait un crime de guerre", a déclaré Denis Krivosheev, directeur adjoint du programme Europe et Asie centrale d'Amnesty International.
Des photographies qui ont circulé sur les médias sociaux après les faits ont montré le bus avec les fenêtres explosées et les flancs grêlés d'impacts d'éclats. On voit par ailleurs du sang dans la neige le long du véhicule.
Peu après l'attaque, des sites d'information séparatistes ont indiqué que le poste de contrôle ukrainien avait été détruit. Mais un haut représentant de la République populaire de Donetsk autoproclamée, les autorités de fait dans cette zone, aurait plus tard affirmé que leur artillerie n'était pas assez puissante pour atteindre ce poste de contrôle.
Un cessez-le-feu de pure forme a été conclu en Ukraine orientale en septembre 2014, mais plus de 1400 personnes ont été tuées depuis lors, les deux camps se livrant à un nombre croissant d'attaques en représailles.