Esprit bouillant voltairien, Sergio Zoppi décrit, avec coquetterie, sa passion pour la France et la langue française. Aussi a-t-il choisi lors de sa vie estudiantine de se spécialiser dans la vaste littérature du XVIIIe siècle avant de se tourner vers la francophonie. L’universitaire italien a trouvé non seulement ce combat original, mais nécessaire pour contrer la déferlante américaine visant à uniformiser les cultures.
Ainsi il a invité plusieurs grands poètes québécois tels Roland Giguère, Gaston Miron, Paul-Marie La Pointe et Gilles Hénault. Mais même s’il trouve la littérature québécoise très vivante, il la trouve quelque peu subventionnelle. L’Afrique l’attire également et le fascine à cause d’un fond culturel très différent du nôtre.
Avec l’ouverture d’esprit et la vaste culture qui le caractérisent, Sergio Zoppi est un penseur que l’on devrait mettre plus en avant parmi ceux qui s’intéressent à la francophonie. Dans ce rôle majeur, nul doute que les italiens, ces personnages de théâtre et de dialogue, devraient occuper une place de choix.
Ainsi il a invité plusieurs grands poètes québécois tels Roland Giguère, Gaston Miron, Paul-Marie La Pointe et Gilles Hénault. Mais même s’il trouve la littérature québécoise très vivante, il la trouve quelque peu subventionnelle. L’Afrique l’attire également et le fascine à cause d’un fond culturel très différent du nôtre.
Avec l’ouverture d’esprit et la vaste culture qui le caractérisent, Sergio Zoppi est un penseur que l’on devrait mettre plus en avant parmi ceux qui s’intéressent à la francophonie. Dans ce rôle majeur, nul doute que les italiens, ces personnages de théâtre et de dialogue, devraient occuper une place de choix.