Illustration. Image du domaine public.
Les États-Unis ne pouvant empêcher la chasse aux éléphants sur le continent africain, Barack Obama en interdisait l’importation en 2014. Cette mesure était censée compliquer voire empêcher les activités des braconniers. Nous savons qu'aujourd’hui, la survie des éléphants est toujours aussi menacée et il avait agi ainsi afin que nous puissions les protéger. Cependant, une faille d’une section du Conservation Act aurait permise à nouveau cette pratique barbare.
Chaque année en Afrique, près de 20.000 éléphants illégalement tués pour l'ivoire. La déclaration de Trump provoqua la colère et l’indignation des associations et des amis des animaux. L’argument favorable au commerce est le suivant: si l’importation est à nouveau autorisée, les fonds récoltés permettront la mise en place d’un plan de sauvegarde de l’espèce. Mais en toute logique, comment peut-on prétendre sauver les éléphants en les tuant?
La Maison-Blanche se retrouva alors au sein d’un véritable maelstrom qui aurait pu être évité, si le président n’avait été un amoureux de la chasse... En effet, quelques heures après, une photo datant de 2011, fuitait sur la toile: on y aperçoit le fils aîné du président, Trump Jr. posant fièrement à côté du cadavre d’un pachyderme. Ce cliché suscitait une profonde rage des internautes et ce souvenir de famille devint tout à coup très encombrant.
Deux jours après sa prise de parole, le chef de l’État publia un tweet succinct mais essentiel: "Je gèle la décision sur les trophées de chasse d'éléphants le temps que je vérifie les informations sur la protection de l'espèce". Il s’agit là d’un véritable revirement de situation. Nous sommes donc en droit de nous demander si le dirigeant américain est réellement devenu un fervent défenseur de la cause animalière en quelques heures ou s’il essaie de calmer le tumulte autour de lui.
Chaque année en Afrique, près de 20.000 éléphants illégalement tués pour l'ivoire. La déclaration de Trump provoqua la colère et l’indignation des associations et des amis des animaux. L’argument favorable au commerce est le suivant: si l’importation est à nouveau autorisée, les fonds récoltés permettront la mise en place d’un plan de sauvegarde de l’espèce. Mais en toute logique, comment peut-on prétendre sauver les éléphants en les tuant?
La Maison-Blanche se retrouva alors au sein d’un véritable maelstrom qui aurait pu être évité, si le président n’avait été un amoureux de la chasse... En effet, quelques heures après, une photo datant de 2011, fuitait sur la toile: on y aperçoit le fils aîné du président, Trump Jr. posant fièrement à côté du cadavre d’un pachyderme. Ce cliché suscitait une profonde rage des internautes et ce souvenir de famille devint tout à coup très encombrant.
Deux jours après sa prise de parole, le chef de l’État publia un tweet succinct mais essentiel: "Je gèle la décision sur les trophées de chasse d'éléphants le temps que je vérifie les informations sur la protection de l'espèce". Il s’agit là d’un véritable revirement de situation. Nous sommes donc en droit de nous demander si le dirigeant américain est réellement devenu un fervent défenseur de la cause animalière en quelques heures ou s’il essaie de calmer le tumulte autour de lui.