Caricature de Donald Trump (c) DonkeyHotey
Pour le président des États-Unis, "une école sans armes attire les méchants". Pour cette raison, il a réaffirmé sa proximité avec le puissant loby des armes NRA et a même, par la suite, évoqué une possibilité de "bonus" pour les enseignants qui porteraient une arme en salle de classe. Il pense que des enseignants très bien formés résoudraient le problème instantanément et avant même que la police arrive. Grâce à une arme dissimulée et une formation adéquate, 20% des enseignants pourraient donc riposter immédiatement.
A contrario, le sénateur démocrate Richard Blumenthal est totalement contre l'idée d'armer les enseignants. Cette idée est "abjecte" et "dangereuse" et elle a été, qui plus est, rejetée "avec force par l'ensemble de la communauté éducative". Le sénateur républicain Marco Rubio a lui aussi fait entendre sa différence avec le président américain. Sur Twitter, l'ancien président démocrate Barack Obama a apporté son soutien aux lycéens de Stoneman Douglas, qui prévoient un grand rassemblement le 24 mars 2108 à Washington: "Quelle inspiration de voir une nouvelle fois tant d'élèves intelligents et courageux se battre pour leur droit à grandir en sécurité. Nous vous attendions. Et nous vous soutenons".
En effet, même si Trump affirme sa position, il doit composer avec les nombreuses mobilisations de lycéens. Ces derniers sont lassés et ne veulent plus se contenter "de prières et de pensées" de la part des élus envers les 17 victimes de ce nouveau drame.
A contrario, le sénateur démocrate Richard Blumenthal est totalement contre l'idée d'armer les enseignants. Cette idée est "abjecte" et "dangereuse" et elle a été, qui plus est, rejetée "avec force par l'ensemble de la communauté éducative". Le sénateur républicain Marco Rubio a lui aussi fait entendre sa différence avec le président américain. Sur Twitter, l'ancien président démocrate Barack Obama a apporté son soutien aux lycéens de Stoneman Douglas, qui prévoient un grand rassemblement le 24 mars 2108 à Washington: "Quelle inspiration de voir une nouvelle fois tant d'élèves intelligents et courageux se battre pour leur droit à grandir en sécurité. Nous vous attendions. Et nous vous soutenons".
En effet, même si Trump affirme sa position, il doit composer avec les nombreuses mobilisations de lycéens. Ces derniers sont lassés et ne veulent plus se contenter "de prières et de pensées" de la part des élus envers les 17 victimes de ce nouveau drame.