Carte du Mont-Dore (c) OpenStreetMap
Il ne s’agit plus de colère mais de délinquance d’opportunité. Quelques jours après les premières tensions qui ont suivi le décès controversé de William Décoiré tué par un gendarme lors d’un contrôle routier fin octobre 2016, Saint-Louis a une nouvelle fois été le théâtre de scènes de violences.
Plusieurs tireurs cagoulés et lourdement armés auraient visé des gendarmes entrainant, une fois de plus, la fermeture de l’axe routier. Même si, au terme de patience et de palabres entre habitants et délinquants, la circulation sur la RP1 a finalement pu être rétablie, le problème de fond reste entier: ces jeunes, une dizaine d’après les gendarmes, tiennent Saint-Louis dans leur main. Les habitants de la tribu, dépassés par cette situation inouïe en Nouvelle-Calédonie, sont à bout de nerf.
Au delà de leur liberté de circuler qui est mise à mal et notamment l’impossibilité des salariés à se rendre sur leur lieu de travail, c’est toute la commune du Mont-Dore qui est prise en otage par quelques délinquants, décideurs de l’état général de paix ou de guerre.
Plusieurs centaines d’habitants, regroupés sous le collectif "Citoyen mondorien", ont manifesté leur colère face à cette situation d’insécurité sur les routes. Aux grands maux les grands remèdes, ils comptent porter plainte directement contre l’État.
Plusieurs tireurs cagoulés et lourdement armés auraient visé des gendarmes entrainant, une fois de plus, la fermeture de l’axe routier. Même si, au terme de patience et de palabres entre habitants et délinquants, la circulation sur la RP1 a finalement pu être rétablie, le problème de fond reste entier: ces jeunes, une dizaine d’après les gendarmes, tiennent Saint-Louis dans leur main. Les habitants de la tribu, dépassés par cette situation inouïe en Nouvelle-Calédonie, sont à bout de nerf.
Au delà de leur liberté de circuler qui est mise à mal et notamment l’impossibilité des salariés à se rendre sur leur lieu de travail, c’est toute la commune du Mont-Dore qui est prise en otage par quelques délinquants, décideurs de l’état général de paix ou de guerre.
Plusieurs centaines d’habitants, regroupés sous le collectif "Citoyen mondorien", ont manifesté leur colère face à cette situation d’insécurité sur les routes. Aux grands maux les grands remèdes, ils comptent porter plainte directement contre l’État.