De la nécessité de construire des écoles pour les filles dans les pays défavorisés
Photo (c) Cécile Domergue
L'éducation comme rempart à l'obscurantisme et à la violence est une évidence. Encore faut-il avoir accès à l'école. Dans les sociétés occidentales les choses se font plutôt naturellement. Malgré les situations de décrochage scolaire, d'absence d'investissement, la possibilité d'aller en cours est offerte à chacun.
Il n'en va pas de même en tous points du globe, notamment pour les filles. Dans les pays les plus pauvres, les familles scolarisent préférentiellement les garçons, les filles restant à la maison pour aider la famille en participant aux tâches domestiques. Au niveau mondial, un tiers seulement des enfants scolarisés sont des filles. Créer des écoles pour les filles dans les pays défavorisés est loin d'être un vain combat puisqu'il s'agit d'agir pour un peu plus d'égalité mais aussi pour la paix.
Donner accès à la scolarité, au savoir, c'est donner à chaque fille des armes qui lui permettront dans sa vie d'adulte de lutter contre l'exploitation sexuelle, les mariages contraints, la prostitution, l'excision, les crimes d'honneur, les violences conjugales... Il s'agit simplement de donner à ces femmes en devenir un destin égalitaire et la possibilité de se vivre, de se penser égales aux hommes de leurs pays. De cette manière, elles pourront s'inscrire dans l'évolution de leurs nations respectives, par l'accès au travail à la politique mais également en éduquant leurs enfants dans cette même perspective.
C'est ainsi que l'association "Toutes à l'école" est née en 2005 sous l'impulsion de la journaliste Tina Kieffer. Une première école a été construite au Cambodge en 2006 à quelques kilomètres de Phnom Penh: Happy Chandara. Un centre de formation professionnelle a ensuite ouvert en 2013. Les filles les plus démunies peuvent être accueillies dans un internat de 130 places. Tout ceci demande des moyens, il vous est possible de contribuer sans ruiner votre porte-monnaie.
Il n'en va pas de même en tous points du globe, notamment pour les filles. Dans les pays les plus pauvres, les familles scolarisent préférentiellement les garçons, les filles restant à la maison pour aider la famille en participant aux tâches domestiques. Au niveau mondial, un tiers seulement des enfants scolarisés sont des filles. Créer des écoles pour les filles dans les pays défavorisés est loin d'être un vain combat puisqu'il s'agit d'agir pour un peu plus d'égalité mais aussi pour la paix.
Donner accès à la scolarité, au savoir, c'est donner à chaque fille des armes qui lui permettront dans sa vie d'adulte de lutter contre l'exploitation sexuelle, les mariages contraints, la prostitution, l'excision, les crimes d'honneur, les violences conjugales... Il s'agit simplement de donner à ces femmes en devenir un destin égalitaire et la possibilité de se vivre, de se penser égales aux hommes de leurs pays. De cette manière, elles pourront s'inscrire dans l'évolution de leurs nations respectives, par l'accès au travail à la politique mais également en éduquant leurs enfants dans cette même perspective.
C'est ainsi que l'association "Toutes à l'école" est née en 2005 sous l'impulsion de la journaliste Tina Kieffer. Une première école a été construite au Cambodge en 2006 à quelques kilomètres de Phnom Penh: Happy Chandara. Un centre de formation professionnelle a ensuite ouvert en 2013. Les filles les plus démunies peuvent être accueillies dans un internat de 130 places. Tout ceci demande des moyens, il vous est possible de contribuer sans ruiner votre porte-monnaie.
Vous souhaitez participer?
En dehors des possibilités de mécénat direct, certaines enseignes proposent des actions ponctuelles de soutien à l'association "Toutes à l'école". C'est le cas de la marque Sephora qui propose en période de fêtes d'acheter une peluche: Mister Carotte. Possible cadeau complémentaire pour vos enfants, il coûte 10 euros. Ce joli lapin blanc vous donne l'opportunité de participer à combler le besoin d'éducation des filles dans le monde. Une forme de mise en beauté solidaire, alors pourquoi pas?