La situation des droits humains dans le monde
Au Brésil, 20 ans après un massacre de paysans sans terre perpétré par la police militaire, l’impunité persiste pour les crimes commis contre des communautés rurales dans le pays, et l’année 2015, au cours de laquelle 50 homicides ont été recensés, a été la plus meurtrière depuis plus de dix ans.
Le gouvernement sud-soudanais doit mettre un terme aux détentions arbitraires dont les services de renseignement sont responsables, et dans le cadre desquelles des dizaines d’hommes sont incarcérés dans des conditions sordides, parfois pendant des mois, sans avoir été jugés ni même inculpés,
La FIFA pratique la politique de l'autruche en ce qui concerne les abus commis au Qatar depuis plus de cinq ans, et préfère se dire et déclarer à la face du monde que les autorités qatariennes vont régler les problèmes. Il n'en est rien, et à présent seule une action concertée de la FIFA visant à empêcher les abus sur les sites de la Coupe du monde permettra de sauver l'âme de la Coupe du monde Qatar 2022.
La condamnation de quatre activistes au Tchad jeudi 14 avril 2016 constitue une grave violation du droit à la liberté d’expression, d’association et de manifestation pacifique.
La condamnation du défenseur des droits humains Haris Ibrahim s’inscrit dans la lignée des actes absurdes à connotation politique visant à faire taire les voix dissidentes en Malaisie. Le gouvernement malaisien doit mettre fin aux poursuites visant les défenseurs des droits humains qui appellent à manifester pacifiquement et réclament des réformes électorales.
Au Nigeria toutes les jeunes filles enlevées par Boko Haram doivent être relâchées, et celles dont la vie a été ruinée par ce groupe armé doivent recevoir justice et une aide adéquate.
Les révélations attribuant à l’armée nigériane le massacre et l’inhumation dans des charniers de 347 membres d’un groupe religieux chiite doivent donner lieu de toute urgence à une enquête.
La visite du pape François et de dignitaires orthodoxes sur l'île grecque de Lesbos le samedi 16 avril 2016 était une occasion inespérée d'attirer l'attention sur la détresse de milliers de réfugiés et migrants qui y sont détenus de manière arbitraire depuis l'entrée en vigueur le 20 mars de l'accord bancal conclu entre l'Union européenne et la Turquie.
La décision qui a été prise le 13 avril de suspendre le Mejlis, instance représentant les Tatars de Crimée, réduit à néant l'un des derniers rares droits d'une minorité que la Russie doit protéger et non persécuter.
Le gouvernement sud-soudanais doit mettre un terme aux détentions arbitraires dont les services de renseignement sont responsables, et dans le cadre desquelles des dizaines d’hommes sont incarcérés dans des conditions sordides, parfois pendant des mois, sans avoir été jugés ni même inculpés,
La FIFA pratique la politique de l'autruche en ce qui concerne les abus commis au Qatar depuis plus de cinq ans, et préfère se dire et déclarer à la face du monde que les autorités qatariennes vont régler les problèmes. Il n'en est rien, et à présent seule une action concertée de la FIFA visant à empêcher les abus sur les sites de la Coupe du monde permettra de sauver l'âme de la Coupe du monde Qatar 2022.
La condamnation de quatre activistes au Tchad jeudi 14 avril 2016 constitue une grave violation du droit à la liberté d’expression, d’association et de manifestation pacifique.
La condamnation du défenseur des droits humains Haris Ibrahim s’inscrit dans la lignée des actes absurdes à connotation politique visant à faire taire les voix dissidentes en Malaisie. Le gouvernement malaisien doit mettre fin aux poursuites visant les défenseurs des droits humains qui appellent à manifester pacifiquement et réclament des réformes électorales.
Au Nigeria toutes les jeunes filles enlevées par Boko Haram doivent être relâchées, et celles dont la vie a été ruinée par ce groupe armé doivent recevoir justice et une aide adéquate.
Les révélations attribuant à l’armée nigériane le massacre et l’inhumation dans des charniers de 347 membres d’un groupe religieux chiite doivent donner lieu de toute urgence à une enquête.
La visite du pape François et de dignitaires orthodoxes sur l'île grecque de Lesbos le samedi 16 avril 2016 était une occasion inespérée d'attirer l'attention sur la détresse de milliers de réfugiés et migrants qui y sont détenus de manière arbitraire depuis l'entrée en vigueur le 20 mars de l'accord bancal conclu entre l'Union européenne et la Turquie.
La décision qui a été prise le 13 avril de suspendre le Mejlis, instance représentant les Tatars de Crimée, réduit à néant l'un des derniers rares droits d'une minorité que la Russie doit protéger et non persécuter.