La situation des droits humains dans le monde
Image du domaine public.
Syrie:
Selon Amnesty International, la résolution de l'Assemblée générale de l'ONU concernant l'obligation de rendre des comptes pour les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité commis en Syrie depuis mars 2011, "est un premier pas vers la justice pour des milliers de victimes".
Myanmar:
Les forces de sécurité se sont rendues coupables d’homicides illégaux, de viols et de l’incendie de logements et de villages entiers dans le cadre d’une campagne violente contre les Rohingyas. Un nouveau rapport d'Amnesty - s'appuyant sur des entretiens approfondis, sur l’analyse d’images satellite, de photos et de vidéos - indique qu'il pourrait s'agir de crimes contre l'humanité.
Sénégal:
Dans un document d’analyse, Amnesty International et la Ligue sénégalaise des droits humains (LSDH) examinent deux lois adoptées par l’Assemblée nationale en octobre 2016, qui introduisent des dispositions liberticides dans le Code pénal et le Code de procédure pénale. Ainsi, il pourra y avoir des abus, en dehors de tout contrôle juridictionnel, notamment pour réprimer des journalistes, manifestants pacifiques, opposants ou défenseurs des droits humains exprimant des opinions.
Crimée:
La communauté des Tatars de Crimée est systématiquement persécutée par les autorités russes depuis le début de l’occupation et de l’annexion illégale de la Crimée par la Russie. C'est ce qu'indique le nouveau rapport d'Amnesty International intitulé "In the Dark: The silencing of dissent".
Qatar:
"Les modifications apportées au droit du travail continueront à laisser des travailleurs migrants, notamment ceux qui construisent les stades et les infrastructures pour la Coupe du monde de football, à la merci de patrons qui les exploitent, et à les exposer au danger du travail forcé", a écrit Amnesty International dans une nouvelle synthèse.
Équateur:
Des agents de la police nationale sont entrés de force dans les locaux de la Fédération interprovinciale des centres shuars et achuars, et ont arrêté le chef de cette organisation. Cette arrestation fait partie d'une série d’actes de violence, de harcèlement et de pression subis par les indigènes, en raison de leur opposition à un projet de mine de cuivre à Morona Santiago.
En outre, le ministère de l’Intérieur a déposé plainte contre Action écologique, l'accusant de "violences", après la publication d’informations évoquant "l’impact environnemental que pourraient avoir les activités minières dans cette région et les atteintes aux droits humains que le projet risquerait d’entraîner".
Irak:
Le groupe État islamique a revendiqué la responsabilité des attentats ciblant des civils à Bagdad le lundi 2 janvier 2017.
Un nouveau rapport, publié le 5 janvier 2017, précise que les milices paramilitaires - opérant en leur nom au sein des forces armées irakiennes pour combattre Daesh - utilisent des armes provenant de stocks militaires irakiens, fournis par les États-Unis, l'Europe, la Russie et l'Iran.
La situation désespérée d’une génération d’enfants (voir vidéo ci-dessous) menace de déboucher sur une catastrophe humanitaire à Mossoul, a déclaré l'organisation internationale après une enquête effectuée en décembre 2016 sur le terrain, lors de laquelle ils ont rencontré "des mineurs de tous âges qui présentaient de terribles blessures après s’être trouvés dans la ligne de mire entre le groupe armé État islamique (EI) et les forces gouvernementales, qui sont soutenues par une coalition dirigée par les États-Unis".
Selon Amnesty International, la résolution de l'Assemblée générale de l'ONU concernant l'obligation de rendre des comptes pour les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité commis en Syrie depuis mars 2011, "est un premier pas vers la justice pour des milliers de victimes".
Myanmar:
Les forces de sécurité se sont rendues coupables d’homicides illégaux, de viols et de l’incendie de logements et de villages entiers dans le cadre d’une campagne violente contre les Rohingyas. Un nouveau rapport d'Amnesty - s'appuyant sur des entretiens approfondis, sur l’analyse d’images satellite, de photos et de vidéos - indique qu'il pourrait s'agir de crimes contre l'humanité.
Sénégal:
Dans un document d’analyse, Amnesty International et la Ligue sénégalaise des droits humains (LSDH) examinent deux lois adoptées par l’Assemblée nationale en octobre 2016, qui introduisent des dispositions liberticides dans le Code pénal et le Code de procédure pénale. Ainsi, il pourra y avoir des abus, en dehors de tout contrôle juridictionnel, notamment pour réprimer des journalistes, manifestants pacifiques, opposants ou défenseurs des droits humains exprimant des opinions.
Crimée:
La communauté des Tatars de Crimée est systématiquement persécutée par les autorités russes depuis le début de l’occupation et de l’annexion illégale de la Crimée par la Russie. C'est ce qu'indique le nouveau rapport d'Amnesty International intitulé "In the Dark: The silencing of dissent".
Qatar:
"Les modifications apportées au droit du travail continueront à laisser des travailleurs migrants, notamment ceux qui construisent les stades et les infrastructures pour la Coupe du monde de football, à la merci de patrons qui les exploitent, et à les exposer au danger du travail forcé", a écrit Amnesty International dans une nouvelle synthèse.
Équateur:
Des agents de la police nationale sont entrés de force dans les locaux de la Fédération interprovinciale des centres shuars et achuars, et ont arrêté le chef de cette organisation. Cette arrestation fait partie d'une série d’actes de violence, de harcèlement et de pression subis par les indigènes, en raison de leur opposition à un projet de mine de cuivre à Morona Santiago.
En outre, le ministère de l’Intérieur a déposé plainte contre Action écologique, l'accusant de "violences", après la publication d’informations évoquant "l’impact environnemental que pourraient avoir les activités minières dans cette région et les atteintes aux droits humains que le projet risquerait d’entraîner".
Irak:
Le groupe État islamique a revendiqué la responsabilité des attentats ciblant des civils à Bagdad le lundi 2 janvier 2017.
Un nouveau rapport, publié le 5 janvier 2017, précise que les milices paramilitaires - opérant en leur nom au sein des forces armées irakiennes pour combattre Daesh - utilisent des armes provenant de stocks militaires irakiens, fournis par les États-Unis, l'Europe, la Russie et l'Iran.
La situation désespérée d’une génération d’enfants (voir vidéo ci-dessous) menace de déboucher sur une catastrophe humanitaire à Mossoul, a déclaré l'organisation internationale après une enquête effectuée en décembre 2016 sur le terrain, lors de laquelle ils ont rencontré "des mineurs de tous âges qui présentaient de terribles blessures après s’être trouvés dans la ligne de mire entre le groupe armé État islamique (EI) et les forces gouvernementales, qui sont soutenues par une coalition dirigée par les États-Unis".