Glyn Davies est accusé de crime de lèse-majesté pour avoir fait part dans ses propos le mois dernier de ses préoccupations au sujet des lourdes peines de prison prononcées contre les personnes reconnues coupables d'avoir enfreint la loi sur la diffamation envers la famille royale en Thaïlande.
"Les autorités se servent de la loi relative aux crimes de lèse-majesté pour envoyer derrière les barreaux des dizaines de personnes qui exercent pacifiquement leurs droits, tandis que certaines sont jugées par des tribunaux militaires, sans possibilité de faire appel", a déclaré Audrey Gaughran, directrice des recherches à Amnesty International.
"Les autorités se servent de la loi relative aux crimes de lèse-majesté pour envoyer derrière les barreaux des dizaines de personnes qui exercent pacifiquement leurs droits, tandis que certaines sont jugées par des tribunaux militaires, sans possibilité de faire appel", a déclaré Audrey Gaughran, directrice des recherches à Amnesty International.