Le tabac, drogue légale mais évitable
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En moyenne, un fumeur vivra huit ans de moins qu’une personne qui ne fume pas. A ce jour en France le tabac est la première cause de mortalité évitable. Un tiers des personnes de 15 à 85 ans fume de temps en temps (soit 36% des hommes et 28% des femmes). Entre 18 et 34 ans, près d’une personne sur deux fume. Le tabagisme concerne déjà un jeune de 15 à 19 ans sur trois. Sa prévalence atteint un maximum de 46% chez les femmes de 20-25 ans et 55% chez les hommes de 26-34 ans.
Cette drogue légale fortement fiscalisée est une réelle manne financière d’1.5 milliard pour l’État. En effet celui-ci prélève 80% du prix d’un paquet de cigarettes pour ne verser que 32% à la Caisse d’assurance maladie. Mais le tabac en termes d’impact sanitaire coûte plus à la société qu’il ne procure de revenus à l’État. Il est responsable de près de 90% du cancer du poumon et à l’origine de 40% des cancers de la vessie, 50% des cancers des voies aérodigestives supérieures (larynx, l’œsophage…) et 30% des cancers du pancréas. Il est également responsable du cancer du rein, du col de l’utérus et de nombreuses maladies cardiovasculaires et pulmonaires.
Face aux impacts négatifs du tabac et de son rôle d'activateur de cancers, François Hollande a annoncé le lancement de la troisième version du plan cancer dont il à confier l’organisation au professeur Jean-Paul Vernant, responsable du service d’hématologie de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière à Paris, en étroite collaboration avec les ministères et parties prenantes concernées. Ce plan s’appesantit sur une politique préventive et le dépistage des cancers, sur les soins et l'organisation des prises en charge en cancérologie, sur une contribution de la vie des personnes atteintes pendant et après la maladie, et enfin sur les inégalités face aux traitements, sur la recherche et l'innovation, et enfin sur la formation des professionnels. Toutes ses mesures visent à diminuer de façon drastique la consommation du tabac, qui reste à ce jour un des fossoyeurs de la Caisse d’assurance maladie.
Cette drogue légale fortement fiscalisée est une réelle manne financière d’1.5 milliard pour l’État. En effet celui-ci prélève 80% du prix d’un paquet de cigarettes pour ne verser que 32% à la Caisse d’assurance maladie. Mais le tabac en termes d’impact sanitaire coûte plus à la société qu’il ne procure de revenus à l’État. Il est responsable de près de 90% du cancer du poumon et à l’origine de 40% des cancers de la vessie, 50% des cancers des voies aérodigestives supérieures (larynx, l’œsophage…) et 30% des cancers du pancréas. Il est également responsable du cancer du rein, du col de l’utérus et de nombreuses maladies cardiovasculaires et pulmonaires.
Face aux impacts négatifs du tabac et de son rôle d'activateur de cancers, François Hollande a annoncé le lancement de la troisième version du plan cancer dont il à confier l’organisation au professeur Jean-Paul Vernant, responsable du service d’hématologie de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière à Paris, en étroite collaboration avec les ministères et parties prenantes concernées. Ce plan s’appesantit sur une politique préventive et le dépistage des cancers, sur les soins et l'organisation des prises en charge en cancérologie, sur une contribution de la vie des personnes atteintes pendant et après la maladie, et enfin sur les inégalités face aux traitements, sur la recherche et l'innovation, et enfin sur la formation des professionnels. Toutes ses mesures visent à diminuer de façon drastique la consommation du tabac, qui reste à ce jour un des fossoyeurs de la Caisse d’assurance maladie.
Et les cigarettes électroniques dans ce combat?
Même si les résultats ont été impressionnants avec l’interdiction de fumer dans les lieux publics contribuant à une baisse considérable de la consommation de tabac dans les bars et les restaurants, le tabac tue près de 150.000 personnes par an en France. Beaucoup déplore que François Hollande n’ait pas impliqué la cigarette électronique dans ce plan cancer car elles présenteraient aussi des signes de dangerosité.
En revanche, nombreuses sont les voix qui s’opposent à cette assertion. La position des députés européens et du célébrissime Pr Jean-François Etter spécialiste international en tabagisme est identique, l’e-cigarette a baissé de 99% la dangerosité du tabac. Elle doit donc rester un produit de libre consommation disponible et accessible à tous. Dans son livre "La vérité sur la cigarette électronique" le professeur Etter confirme que l’e-cigarette baisse infiniment les conséquences les plus homicides du tabac supprimant goudrons et adjuvants cancérigènes et que l’e-cigarette représente aujourd’hui une révolution pour aider les fumeurs à tourner la page du tabac.
En faisant perdre approximativement 10 voire 15 ans d’années de la vie des fumeurs avec les cancers qu’elle engendre, la nocivité de la cigarette n’est plus à prouver. De part le monde les chiffres sont également alarmante, environ 5 millions de décès sont dues au tabac soit une mortalité qui est plus élevée que celui du VIH- SIDA. Évitons au 21e que le tabagisme soit la fatalité de cette génération.
En revanche, nombreuses sont les voix qui s’opposent à cette assertion. La position des députés européens et du célébrissime Pr Jean-François Etter spécialiste international en tabagisme est identique, l’e-cigarette a baissé de 99% la dangerosité du tabac. Elle doit donc rester un produit de libre consommation disponible et accessible à tous. Dans son livre "La vérité sur la cigarette électronique" le professeur Etter confirme que l’e-cigarette baisse infiniment les conséquences les plus homicides du tabac supprimant goudrons et adjuvants cancérigènes et que l’e-cigarette représente aujourd’hui une révolution pour aider les fumeurs à tourner la page du tabac.
En faisant perdre approximativement 10 voire 15 ans d’années de la vie des fumeurs avec les cancers qu’elle engendre, la nocivité de la cigarette n’est plus à prouver. De part le monde les chiffres sont également alarmante, environ 5 millions de décès sont dues au tabac soit une mortalité qui est plus élevée que celui du VIH- SIDA. Évitons au 21e que le tabagisme soit la fatalité de cette génération.