Illustration proposée par l'auteur
Une vingtaine d'importants groupes rebelles islamistes syriens ont rejeté catégoriquement la conférence de paix dite "Genève-2" défendue par les États-Unis et la Russie pour trouver une issue politique à la guerre civile.
"Nous annonçons que la conférence Genève-2 n'est pas et ne sera jamais le choix du peuple ou une revendication de notre révolution", ont annoncé ces groupes armés islamistes dans un communiqué lu par le chef de la brigade Souqour al-Cham, Ahmad Eissa al-Sheikh.
"Pour nous, il s'agit d'un élément supplémentaire du complot visant à faire dérailler notre révolution et à la stopper", ont insisté ces groupes, dont certains font partie de l'Armée syrienne libre (ASL) et d'autres ont combattu les jihadistes engagés comme eux contre le régime.
Les éventuels participants à cette conférence commettront une "trahison" dont ils devront répondre "devant nos tribunaux", ont-ils prévenu.
L'opposition syrienne, très divisée sur une éventuelle participation à cette conférence de paix déjà plusieurs fois reportée.
Alors que doit-on faire?
Depuis toujours, la violence a été un moyen primitif d'imposer sa volonté de domination ou de satisfaire son instinct de puissance sur les êtres et les choses.
Le recours à la guerre, dans l'espèce humaine, est le résultat de pulsions de certains afin de s'emparer d'un pouvoir plus étendu au sein de notre société.
C'est pourquoi les nations, les communautés religieuses, les groupes sociaux, les mouvements contestataires et les partis politiques doivent en accepter l'interdiction de se livrer à la guerre au moyen d'armes chimiques, biologiques et nucléaires en particulier.
En espérant que l'Assemblée Générale des Nations Unies en soumet l'objet au vote de ses membres et qu'il est adopté.
Le XXIe siècle devait être l'occasion d'adapter le droit humain international et d'encourager les institutions spécialisées de l'ONU à développer les effets positifs d'interdiction de faire la guerre sur toute la terre.
La Charte des Nations Unies du 26 juin 1945, signée après plusieurs années d'une guerre mondiale dévastatrice et humainement traumatisante, a toujours soutenu l'humanité dans sa capacité à rebondir avec détermination vers des lendemains meilleurs.
L'évolution économique et scientifique en particulier, ainsi que la démocratisation croissante des instruments du savoir, ont fait avancer la société vers des besoins nouveaux.
Dont la satisfaction ne saurait être obtenue que si la paix entre les hommes devenait une obligation légale.
Toutefois, la paix étant une condition et non un but, c'est donc la prohibition généralisée du droit de recours à la guerre que l'ONU doit clairement introduire dans sa Charte.
Peut-être ne manque-t-il qu'une personne pour que tout bascule et que le monde vive en paix!
Un futur pour l'humanité n'existera que si les conditions utiles et urgentes sont élaborées collectivement et à temps. Car c'est un don que nous nous faisons les uns aux autres.
Dans la pratique, il appartient à l'ONU de prendre toutes dispositions utiles, afin que les États membres soient informés rapidement quant à cette revendication et invités à voter une résolution permettant d’ajouter aux droits humains, l’interdiction de recourir à la guerre pour imposer sa volonté, ou montrer sa supériorité militaire.
Un objectif essentiel est à énoncer: obtenir, pour tous nos descendants et dans le monde, les moyens objectivement indispensables à la continuation de la vie humaine, en toute circonstance.
"Nous annonçons que la conférence Genève-2 n'est pas et ne sera jamais le choix du peuple ou une revendication de notre révolution", ont annoncé ces groupes armés islamistes dans un communiqué lu par le chef de la brigade Souqour al-Cham, Ahmad Eissa al-Sheikh.
"Pour nous, il s'agit d'un élément supplémentaire du complot visant à faire dérailler notre révolution et à la stopper", ont insisté ces groupes, dont certains font partie de l'Armée syrienne libre (ASL) et d'autres ont combattu les jihadistes engagés comme eux contre le régime.
Les éventuels participants à cette conférence commettront une "trahison" dont ils devront répondre "devant nos tribunaux", ont-ils prévenu.
L'opposition syrienne, très divisée sur une éventuelle participation à cette conférence de paix déjà plusieurs fois reportée.
Alors que doit-on faire?
Depuis toujours, la violence a été un moyen primitif d'imposer sa volonté de domination ou de satisfaire son instinct de puissance sur les êtres et les choses.
Le recours à la guerre, dans l'espèce humaine, est le résultat de pulsions de certains afin de s'emparer d'un pouvoir plus étendu au sein de notre société.
C'est pourquoi les nations, les communautés religieuses, les groupes sociaux, les mouvements contestataires et les partis politiques doivent en accepter l'interdiction de se livrer à la guerre au moyen d'armes chimiques, biologiques et nucléaires en particulier.
En espérant que l'Assemblée Générale des Nations Unies en soumet l'objet au vote de ses membres et qu'il est adopté.
Le XXIe siècle devait être l'occasion d'adapter le droit humain international et d'encourager les institutions spécialisées de l'ONU à développer les effets positifs d'interdiction de faire la guerre sur toute la terre.
La Charte des Nations Unies du 26 juin 1945, signée après plusieurs années d'une guerre mondiale dévastatrice et humainement traumatisante, a toujours soutenu l'humanité dans sa capacité à rebondir avec détermination vers des lendemains meilleurs.
L'évolution économique et scientifique en particulier, ainsi que la démocratisation croissante des instruments du savoir, ont fait avancer la société vers des besoins nouveaux.
Dont la satisfaction ne saurait être obtenue que si la paix entre les hommes devenait une obligation légale.
Toutefois, la paix étant une condition et non un but, c'est donc la prohibition généralisée du droit de recours à la guerre que l'ONU doit clairement introduire dans sa Charte.
Peut-être ne manque-t-il qu'une personne pour que tout bascule et que le monde vive en paix!
Un futur pour l'humanité n'existera que si les conditions utiles et urgentes sont élaborées collectivement et à temps. Car c'est un don que nous nous faisons les uns aux autres.
Dans la pratique, il appartient à l'ONU de prendre toutes dispositions utiles, afin que les États membres soient informés rapidement quant à cette revendication et invités à voter une résolution permettant d’ajouter aux droits humains, l’interdiction de recourir à la guerre pour imposer sa volonté, ou montrer sa supériorité militaire.
Un objectif essentiel est à énoncer: obtenir, pour tous nos descendants et dans le monde, les moyens objectivement indispensables à la continuation de la vie humaine, en toute circonstance.