Dans le seul camp de Yarmouk, qui accueille des réfugiés palestiniens au sud de Damas, ainsi que des Syriens, l’organisation a recueilli les noms de plus de 100 personnes, hommes, femmes et enfants, qui sont mortes lors d’un siège imposé par les forces armées syriennes en juillet 2013 à la suite d’affrontements avec des groupes armés d’opposition. La famine, l’absence de soins médicaux et les tirs des snipers sont les causes principales de ces décès.
"La situation des civils pris au piège et assiégés dans plusieurs villes de Syrie est intenable: il y a pénurie ou manque total de denrées de première nécessité et de fournitures médicales vitales", a déclaré José Luis Díaz, responsable du bureau d’Amnesty International auprès de l’ONU à New York.
La Russie, qui avec la Chine a opposé son veto à trois résolutions du Conseil de sécurité sur la Syrie depuis deux ans et demi, a déjà fait part de son opposition au projet de résolution.
"La situation des civils pris au piège et assiégés dans plusieurs villes de Syrie est intenable: il y a pénurie ou manque total de denrées de première nécessité et de fournitures médicales vitales", a déclaré José Luis Díaz, responsable du bureau d’Amnesty International auprès de l’ONU à New York.
La Russie, qui avec la Chine a opposé son veto à trois résolutions du Conseil de sécurité sur la Syrie depuis deux ans et demi, a déjà fait part de son opposition au projet de résolution.