Stephen Blanchard était présent lors des 20 ans de la librairie ancienne Le Barde Bourguignon à Dijon. Photo (c) Sarah Belnez.
Sous son grand chapeau noir, Stephen Blanchard a plusieurs casquettes. De la poésie au journalisme, de la scène à l’écriture, les souvenirs ne manquent pas. Au fond de la librairie Le Barde Bourguignon à Dijon, Stephen Blanchard a définitivement troqué son passé de comptable pour un présent de conteur d’histoires, aussi anecdotiques que diversifiées.
Conscient qu’on ne peut vivre de la poésie, Stephen Blanchard multiplie les expériences artistiques, notamment dans la photographie. Primé à un concours organisé par la presse locale Le Bien Public, son instant volé à un papillon l’a emmené dans un voyage macrophotographique. Au milieu des libellules et des papillons,
Stephen Blanchard a sorti en février dernier un livre de photographie. Si le touche-à-tout capture les papillons avec son appareil, il sait également déployer ses ailes sur scène au théâtre. Avec l’association les Poètes de l'amitié, il rend hommage à Jacques Brel dans un spectacle musico-poétique et prépare déjà celui de l’année prochaine centré sur Georges Brassens.
Mais l’association qu’il a fondé en 1974 ne s’arrête pas aux planches de théâtre et parvient à faire vivre la revue de poésie Florilège depuis 1976. Commence ainsi l’engagement journalistique de Stephen Blanchard qui est délégué départemental du syndicat des journalistes et écrivains de la Côte-d’Or et de la revue Indépendante, fondée par George Sand en 1841.
Avec des projets constamment sur le feu, Stephen Blanchard préfère vivre au jour le jour et se laisse porter par ses inspirations matinales. Prochaine destination: réécriture des "Fleurs du mal" de Baudelaire en vers néo-classiques.
Conscient qu’on ne peut vivre de la poésie, Stephen Blanchard multiplie les expériences artistiques, notamment dans la photographie. Primé à un concours organisé par la presse locale Le Bien Public, son instant volé à un papillon l’a emmené dans un voyage macrophotographique. Au milieu des libellules et des papillons,
Stephen Blanchard a sorti en février dernier un livre de photographie. Si le touche-à-tout capture les papillons avec son appareil, il sait également déployer ses ailes sur scène au théâtre. Avec l’association les Poètes de l'amitié, il rend hommage à Jacques Brel dans un spectacle musico-poétique et prépare déjà celui de l’année prochaine centré sur Georges Brassens.
Mais l’association qu’il a fondé en 1974 ne s’arrête pas aux planches de théâtre et parvient à faire vivre la revue de poésie Florilège depuis 1976. Commence ainsi l’engagement journalistique de Stephen Blanchard qui est délégué départemental du syndicat des journalistes et écrivains de la Côte-d’Or et de la revue Indépendante, fondée par George Sand en 1841.
Avec des projets constamment sur le feu, Stephen Blanchard préfère vivre au jour le jour et se laisse porter par ses inspirations matinales. Prochaine destination: réécriture des "Fleurs du mal" de Baudelaire en vers néo-classiques.