Le 1er octobre 2015, le Conseil des droits de l'homme à Genève a adopté cette résolution par consensus, à la suite de la publication en septembre d'un rapport de l'ONU sur les graves violations des droits humains qui auraient été commises par toutes les parties au conflit armé au Sri Lanka.
"L'adoption de cette résolution marque un tournant pour les droits humains au Sri Lanka, et reconnaît de manière décisive les crimes commis par les deux parties durant le conflit armé. Bien qu'elle soit loin d'être parfaite, si cette résolution et les engagements sous-jacents du gouvernement sri-lankais sont mis en œuvre de bonne foi, elle offre aux victimes la possibilité d'obtenir enfin la vérité et la justice tant attendues", a déclaré David Griffiths, directeur des recherches sur l'Asie du Sud à Amnesty International.
"L'adoption de cette résolution marque un tournant pour les droits humains au Sri Lanka, et reconnaît de manière décisive les crimes commis par les deux parties durant le conflit armé. Bien qu'elle soit loin d'être parfaite, si cette résolution et les engagements sous-jacents du gouvernement sri-lankais sont mis en œuvre de bonne foi, elle offre aux victimes la possibilité d'obtenir enfin la vérité et la justice tant attendues", a déclaré David Griffiths, directeur des recherches sur l'Asie du Sud à Amnesty International.